Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
La construction du château de Requesens date du XIème siècle, par ordre du comte de Roussillon Gausfred II.
Ce premier château était petit, et aujourd'hui il est caché sous les constructions postérieures. En effet, à la fin du XIXème siècle, le château n'était plus qu'un ensemble de ruines, et c’est en 1893 que Tomàs de Rocaberti, le comte de Peralada, décide de la reconstruire.
Alexandre Comalat, le maître d’œuvre de Figueres, réalise une grande œuvre typique du romantisme et avec de nettes influences modernistes. Malheureusement le nouveau château va lui aussi connaître une période de décadence tout au long du 20ème siècle avant d’être restaurer à partir de 2014.
L’ermitage Notre-Dame de Requesens date de la fin du XVIIe ou du début du XVIIIe siècle, avec des ajouts ultérieurs. Cependant, déjà en 1518, le vicomte Marti Onofre I de Rocaberti obtint une autorisation de l'évêque de Gérone pour construire une chapelle dédiée à Notre-Dame de la Miséricorde au lieu-dit Monteceli ou Mont Requesens.La rando du jour a comme départ et arrivée le village de Cantallops. Pour la montée nous suivrons les vallées de la Ribera de Torrelles et du correc de la Verneda jusqu’au coll de Forcat en contrebas du Puig de Llobregat. Sur la descente nous ferons la pause repas à l’ermitage Notre-Dame de Requesens où la « Cantina » pourra nous recevoir pour boire un verre, un café ou se restaurer selon nos envies. Par la suite, pour rejoindre Cantallops nous passerons par le Coll de Medas.
La SOIRÉE du POT avec ANIMATION MUSICALE après le repas aura lieu au RESTAURANT LE YUCCA (Accueil à partir de 19h30)
Allée des chênes PARC DU CUP-66000 Perpignan
Tel : 04 68 85 56 54
Aller au départ de la randonnée est déjà une aventure, obliquer de Lapradelle vers Montfort en passant par Gincla nous permet de rentrer hors de nos repères.
Ensuite une montée balisée, soutenue, jusqu’à la couillade, puis jusqu’au point de vue de l’Hommenet.
De vastes paysages encore entretenus et pacagés.
Le Pech Pédré au dessous du Pic Dourmidou nous attend avec au final un retour tranquille vers notre lieu de départ.
''La ligne de vie''
Une randonnée physique et exigeante dans un cadre magnifique au dessus d'Amélie-les-Bains.
Elle débute du hameau de Montalba et rejoint la crête du roc de Saint Sauveur.
Une ligne de vie permet de suivre la crête, équipée de cordes pour déescalader des passages délicats par endroits (sujets craignant le vertige s'abstenir …).
On rejoint le col Cerda pour le picnic avec la possibilité, si le cœur nous en dit, de faire un aller retour au Roc de Frausa.
Le retour se fera par la descente sur Montalba par le GR10.
Dominant le village, le château de Mollet appelé plus tard Montferrer est bâti sur un éperon rocheux, El cingle, qui se dresse sur la crête d’une serre descendant des alpages de la Souque vers l’est. Le castrum est mentionnée au XIe siècle (castrum Monte Ferrario : Mont du latin Mons-Montis et château, du fer (latin ferrariu). Il doit son appellation soit parce qu’on y produisait du fer, soit plutôt d’après Lluis Basseda par métaphore féodale (château résistant comme du fer).
Au cours du XIVe siècle le village au pied du château, anciennement appelé villa molleto (967), a pris
progressivement le nom de celui-ci, perdant celui de Mollet. On peut y voir l’expression de la prise de contrôle par le
seigneur châtelain sur le village en contrebas.
L’appellation de Mollet demeure cependant dans le nom de l’église. L’église Sainte Marie de Mollet est mentionnée dès 938. Elle est citée en tant qu’église paroissiale en date du 11 novembre 1159 dans l’acte de consécration de l’église St Etienne d’Arles.......
Je vous propose une randonnée automnale et bucolique dans un endroit où nos pas ne nous portent
que rarement. Voilà donc l’occasion de faire connaissance avec le pays de Sault méridional.
Nous partirons de Roquefort et atteindrons le point culminant de la rando (un majestueux menhir) à
travers une forêt magique (même si par endroits, hélas, les forestiers lui ont fait subir quelques
dommages).
La randonnée sera clôturée par un repas (entre 13heures et 14heures) à l’unique restaurant de
Roquefort tenu par deux jeunes qui méritent d’être encouragés.
La plus ancienne mention du lieu d’Evol remonte à 957, date à laquelle il est fait donation au monastère de Ripoll, de la « villa Evolo » et de ses terres, par le comte de Cerdagne Seniofred.
Village en espalier, les maisons sont groupées sur les pentes d’une colline de la rive gauche de la rivière Evol. Ce petit torrent a creusé dans la vallée un sillon profond de 10 kms de long où se faufile l’ancien chemin de transhumance (le cami ramader) entre murs de pierres sèches formant d’innombrables terrasses en escalier réservées aux cultures. Il passe d’une rive à l’autre par des ponts de pierres ou de bois, rejoignant plus haut d’immenses pâturages où subsistent encore de nombreux cortals ou bergeries pour la plupart en ruines.
Cette vallée fut au Moyen Age riche et très peuplée. Des canaux d’irrigation fertilisaient les terres.
Vignes, vergers et céréales furent cultivées. L’élevage était important. De nombreuses ardoisières furent exploitées autrefois ; l’ardoise (llose) servant à couvrir les toits des maisons.....
La ligne de chemin de fer de 12 km entre Rapaloum et Formentera a été ouverte en 1907 pour l’exploitation des mines de fer de la Pinouse, de Rapaloum et des Manerots ; elle restera en activité jusqu’en 1931. Le minerai extrait des mines de la Pinouse était acheminé par chemin de câbles aériens de 1300 m jusqu’à la gare de Rapaloum, avant d’emprunter cette ligne qui passait aussi par le site des Manerots. A la gare de Formentera le minerai empruntait de nouveaux câbles aériens de 4500 m jusqu’à la Petite Provence (Amélie-les-Bains) d’où il était évacué par la ligne Elne Arles-sur-Tech.
Pour atteindre cette ancienne gare nous partirons du hameau du Pont Neuf en face d’Alzine Rodone en entrant sur la commune d’Arles sur Tech. Pour l’ascension nous passerons le coll d’en Gros et le pla del Rec en empruntant d’anciens chemins balisés puis la piste pour le dernier kilomètre.
Après le repas, pour la descente nous suivrons le GR de Pays Ronde du Canigou jusqu’au Coll de la Reducta. De là des pistes, puis une petite route goudronnée au Puig Rémy nous mènera à l’antenne parabolique de Lous Quintans. Pour finir nous emprunterons à nouveau des sentiers jusqu’au Pont Neuf.
L’histoire de l’ermitage de Notre Dame du Château, situé au-dessus du village de Sorède, est liée au sort réservé au château d’Ultrera qui couronne le Puig Alt.
A l’origine, il s’appelait Castrum Vulturarium, c à d château du vautour, puis Castrum Vultararia et enfin Castell d’Ultrera.
Simple fort défendant la vallée de la Pave, sa construction serait antérieure au VIIe siècle puisqu’il en était déjà fait mention sous la domination wisigothique du roi Wamba.
Il fut doté d’une chapelle au début du XIIe siècle dédiée à la Vierge Marie « Maria de Deu ».
En 1296, le roi Jacques d’Aragon rattache la chapellenie majeure d’Ultrera avec le territoire de la Pave à l’archidiaconat du Vallespir qui disposera des droits équivalents aux seigneurs féodaux.
Si bien qu’à cette époque deux seigneurs distincts, le seigneur de Sorède et le seigneur de la Pave ne résidant ni l’un ni l’autre à Ultrera, portent le même titre : seigneur du Château d’Ultrera mais pour des raisons différentes. L’un, le seigneur de Sorède de qui relevait militairement le château, et l’autre, l’archidiacre du Vallespir en tant que chapelain majeur d’Ultrera qui en était aussi le châtelain.......
Le caractère sauvage du Val de Galbe, du cirque de la Peira Escrite et de l’étang du Diable, est un véritable atout pour les randonneurs sensibles aux lieuxmagiques et mystérieux.
De plus se restaurer sur les berges de l’Étang les pieds en éventail est un rêve accessible à tous.