Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Durée : 4 h 00
Dénivelé : 470 m
Difficulté : moyen
Conditions : licence annuelle 35 euros ou assurance journalière 3 euros
Repas : grillade : apporter apéro, vin, eau, viande…
Départ : 9 h 00 au parking de la piscine du Moulin à Vent à Perpignan
La « villa Paladdanum » apparaît dans l’histoire dès le IXe siècle : un précepte de Louis le Pieux, en date de 833, donne son territoire comme confrontant à celui de Céret à l’occident.
Les scribes de l’époque lui attribuent l’étymologie de Palatium Dani, Dano ou Dan faisant référence à un ancien palais (latin Palatium= palais ; catalan palau= demeure seigneuriale). La graphie de Palauda se conservera jusqu’à la Révolution Française et aboutira à la forme actuelle de Palalda.
Depuis 1945, Palalda est rattaché à la commune dels Banys d’Arles aujourd’hui Amélie-les Bains.
Si ce Dan qui avait là un palais ou palau ne nous apporte pas plus d’indications, le nom d’au moins un seigneur du lieu nous est donné en 1087 et 1179 : il s’agit de Guillem Ramon.........
Pour se renseigner, tél à : Jean-François 04 68 56 81 03 / 06 20 40 63 05
Cette ascension exigeait de bonnes conditions météorologiques qui ne sont pas réunies.
SORTIE ANNULÉE
Le village est mentionné pour la première fois en 899 (villa Tordarias) ; le nom dérive du latin turdus (en catalan tord), désignant la grive.
Le site correspondrait peut-être à un lieu giboyeux où abondaient les grives.
Tordères était l’une des nombreuses possessions des Aspres confirmées, le 14juin 899, par Charles le Simple, « à son fidèle Estève » et à son épouse Anna, petite fille de Bera 1er comte de Razés : la villa Tordarias relevait d’Estève et Anna « avec ses vilars, limites et adjacences et l’église Saint-Martin qui y est située ».
Le 18 septembre 927, Ato, fils et héritier des précédents, vend la totalité de son héritage-sous réserve d’en jouir sa vie durant-à l’église d’Elna et à l’évêque Wadalde ; entre autres, Tordères, mais seulement la moitié (car il avait une sœur, qui avait hérité probablement de l’autre moitié). Or cette autre moitié se trouvera un peu plus tard entre les mains du comte de Cerdagne, Seniofred, qui la légua, le 1er octobre 965, à l’abbaye bénédictine de Ste-Marie d’Arles qui, par la suite va acquérir la totalité de la seigneurie jusqu’à la Révolution...