Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Dénivelé : 780m - Durée : 7 heures - Niveau : randonneur en forme.
Équipement : vêtements chauds, raquettes cramponnées, bâtons, guêtres, gants, lunettes, crème solaire
Durée : 4h 30 - Dénivelé : 300 m - Difficulté : facile - Conditions : assurance journalière 3 euros -
Repas : grillade à la fontaine des brigadiers : apporter apéro, vin, eau, viande?
Départ : 9 h 00 gare routière de Perpignan bld du gal leclerc
Un peu d?histoire?
Dominant le village, le château de Mollet appelé plus tard Montferrer est bâti sur un éperon rocheux ,el cingle, qui se dresse sur la crête d?une serre descendant des alpages de la Souque vers l?est.
Le castrum est mentionnée au XIe s (castrum Monte Ferrario : Mont du latin Mons-Montis et château, du fer (latin ferrariu). Il doit son appellation soit parce qu?on y produisait du fer, soit plutôt d?après Lluis Basseda par métaphore féodale (château résistant comme du fer).
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Carte 2249 ET 1/25000
Départ : Le Roc Mary(4/03/2011). Le refuge de Becet.
Dénivellé : 1000 m - Difficulté : bonne condition physique. - Durée : 6 h 30 mn
Repas : tiré du sac. - Équipement : hiver, randonnée raquettes.
Rendez-vous : gare routière de Perpignan à 7 h ou à 9 h Parking de la Farga après le barrage de Puyvalador dépatementale D 118 en passant par Formiguéres.
Conditions : assurance jounalière (non licenciés 3?) ou Licence annuelle 30?
Le Pic du Madres, du fait de son altitude modeste, domine un relief presque toujous arrondi. Les parois, même peu élevées, en sont absentes.
Pourtant, si ce massif, dans son ensemble, fait peu « montagne », il ne manque pas de charmes : quelques éperons rocheux, quelques cirques glaciaires, apportent une note de rudesse et de sauvagerie.
Le raquetteur est à peu près assuré d?y trouver le calme et, souvent la solitude.
Au sommet du Madres, se trouve un petit abri en pierres séches et un livre d?Or caché dans un trou entre les pierres.
Le départ, de la Farga, nous conduira, au refuge du Becet, vers la cabane Oller.
Si le temps nous le permet,une belle crête, bien régulière, nous portera vers le sommet qui nous attend déjà.
Randonnée, le dimanche 13 mars 2011 à Oms-St Amans, Notre Dame del Coll- Calmeilles
Durée : 4h 45 - Dénivelé : 500 m cumulé - Difficulté : moyen
Conditions : licence annuelle 31 euros ou assurance journalière 3 euros
Repas : grillade : apporter apéro, vin, eau, viande?
Départ : 8 h 45 à la gare routière de Perpignan av du Général Leclerc
Un peu d?histoire?
Le site de Reynès était déjà habité entre le néolithique (-5000 av J-C) et le chalcolithique (-2000 av J-C).Des fouilles archéologiques à la Cova de la Dona ont permis de trouver des fragments de poteries, une petite hache de pierre verte polie, des éléments d?un ou plusieurs colliers et un poinçon en os poli.
Un dolmen, pillé et ruiné, est signalé dans le nord de la commune au lieu dit Camp d?En Seris non loin de la chapelle N D de la Roure.
Après les Ibères, les Romains arrivent dans la contrée qu?ils appelleront « pagus Vallis Asperi » d?où est issu le nom de Vallespir (vallée âpre, rude, difficile) due à son relief accidenté.
Une nouvelle voie de communication est crée qui traversait le territoire de Reynès pour aller à la station thermale d?Aquae Calidae (devenue les bains d?Arles).Plusieurs fragments d?amphores ont été retrouvés dans le secteur du Vila.
Les Wisigoths puis les musulmans ont laissé peu de traces. L?époque carolingienne est marquée par le début de l?expansion agricole. Dès la fin du VIIIe s de petits noyaux de population venus du sud et repoussés par la conquête musulmane, apparaissent en Vallespir.
Avant 817 sera crée le premier monastère d?Arles dans les anciens bains romains.
La mention la plus ancienne du site de Reynès date de 988, sur un acte de donation d?une vigne au monastère d?Arles. Le Vallespir faisait alors partie du comté de Besalù.
Le petit village de Reynès est groupé à la base méridionale d?un cône, isolé au milieu de la vallée, entre les ruisseaux de Can Guillet et du Llargo. C?est au sommet de ce cône que veillait le château, comme en témoigne un reste de mur très épais, long de 7 à 8m, percé de deux petites ouvertures en forme de meurtrière rustique.
Beaucoup plus bas, dominant de peu la maison la plus haute du village, on voit une très grande bâtisse en ruines, étayée de solides contreforts, percée de fenêtres rectangulaires en pierre de taille ; celle-ci est désignée comme étant lo castell. On ne sait trop quand le château a été construit.
L?église de Sant Vicens est citée en 1027. En 1111, le comté de Besalù est intégré à la maison des comtes de Barcelone puis par mariage dépendra du comte-roi d?Aragon.