Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Le POT a programmé une randonnée sur trois jours le weekend de la Pentecôte, les 14, 15 et 16 mai 2016.
Cette sortie conditionnée à une météo favorable mais également à l'ouverture effective du refuge de Baysselance n'a pu se réaliser. Comme prévu, un projet de substitution a été proposé au groupe en Cerdagne catalane: El Puig de la Carabassa 2738m et els Estanys de la Muga avec hébergement en gîte dans le petit village de Talltendre.
Perché à 640m d’altitude, Prats de Sournia est un village pittoresque blotti au pied de sa tour. Surnommé le balcon du Fenouillèdes on découvre un point de vue superbe sur les Corbières, la mer et le pic du Canigou.
La 1ère mention du lieu remonte à l’an 1011.La bulle du pape Serge V mentionne en effet un alleu possédé par l’abbaye de Saint Michel de Cuixà « in villa pratis »dans la vallée de Sournia. Le toponyme évoque la présence de prés (pratis en latin) donc de lieux d’élevage. Un lieudit actuel les Prazels (petits prés) renforce encore cette notion. Le village était situé sur un important chemin de transhumance.
L’appellation actuelle ne date que de 1933. Le déterminant de Sournia a été rajouté, lorsque Sournia est devenu chef-lieu de canton, pour distinguer ce Prats de ses homonymes de Prats de Mollo et Balaguer.
Le village est dominé par une tour quadrangulaire dont on ne sait trop si elle fut une simple tour à signaux ou si elle faisait partie d’une fortification plus importante. Elle fut ensuite transformée en horloge municipale. La tradition orale est toujours vivace : les habitants appellent le haut du village « le château ».......
Le Mirador du Donezan
Dominant directement la station de ski de Mijanès , le pic de Tarbézou, jouit d’une grande réputation , à tel point que son ascension est aujourd’hui devenue une classique incontournable de la région.
Nos raquettes ou nos pas nous conduiront vers la Bergerie (1720m) afin de longer tranquillement le ruisseau de la Maure.
Sous la surveillance du géant du Donezan, nous bifurquerons, vers le pic de la Coumeille de l’Ours ou une montée rapide nous conduira au sommet tant désiré.
La descente nous offre une quantité de solutions, que nous prendrons en fonction des conditions météorologiques.
Situé à un carrefour stratégique menant au Nord en Fenouillèdes, à l’Ouest en Conflent et Cerdagne, à l’Est à Perpignan et au Sud en Vallespir et vers l’Espagne, le lieu de Millas a toujours été un gros bourg économiquement dense et dont l’histoire remonte à l’époque néolithique. De cette période ont été mises à jour des haches en pierre polie au lieu-dit de Palaus et le site du village lui-même était habité dès huit siècles avant J.-C. comme en témoigne le cimetière à incinérations de l’époque des « Champs d’Urnes » situé à l’ouest de l’actuelle agglomération.
Le nom Millares est cité pour la première fois en 898 dans un texte qui mentionne également une prise d’eau et le canal d’eau qui arrosait le territoire situé sur la rive gauche de la Têt. En 915 Millares devient Miliare, puis Milarium, Milliarios et aux XIe et XIIe siècles Miliars, Millats, Millars et enfin au XVIIe siècle Millas. Si l’on en croit le blason de la ville, représentant une plante en épi, le nom de Millas découlerait de la culture intensive du mil, mill en catalan, dès le Moyen-Age.
Les plus anciennes constructions visibles sont les vestiges du château construit au XIIIe ou XIVe siècle, au centre du village, et sans doute en remplacement d’un édifice antérieur. A cette époque............
Comme à Malniu, cette fois-ci au départ de Fontrabiouse, nous n’emprunterons pas de sentier déterminé, mais une crête forestière que nous longerons. Le parcours sera marqué par d’anciens murets, preuve d’une activité humaine intense dans le passé. Par moments, nous aurons même l’impression de marcher sur de vieilles sentes. Nous frôlerons le roc de la font viva et quelques espaces dégagés avant d’atteindre une piste de ski et de rejoindre le serrat del bosc nègre. Du terminal du télésiège, Le pic de Ginèvre pointera alors le bout de son sommet. Une légère descente nous permettra de rejoindre une autre piste de ski, que nous remonterons jusqu’à la table sommitale.