Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Niveau : randonneur: moyen (car sur sentier), mais bonne condition physique requise - Dénivelé : 1000 m environ
Equipement : Bonnes chaussures, imperméable, coupe vent - Durée : 6 h 00
Conditions : Licence assurance journalière (pourles non-licenciés) : 3 € - Repas : grillade possible, vin et apéro bienvenus.
Départ : 7 h 15 au Parking de la Piscine du Moulin à vent, à Perpignan - ou à 7 h 45 au parking à l’entrée de Marquixanes.
C’est à nouveau sur les contreforts du Canigou que nos pas vont nous mener. Le refuge de Bonaigua est situé sur le GR 10, à la croisée de différents chemins. Idéalement placé, il sera notre aire de repos et de repas. Pour y accéder, nous emprunterons un très bel itinéraire fort peu fréquenté, aux noms imagés, la Passerre Cremade, les Orriets, lointains échos d’une ruralité aujourd’hui révolue.
Ce chemin, en balcon au-dessus de la cascade des Anglais que nous entendrons au loin, chemine entre des barres rocheuses, pour arriver à un petit barrage. Ce dernier, construit pour prévenir les crues sur Vernet, crée un spectacle insolite en retenant la neige jusqu’à former une petite « Mer de glace ». Nos montagnes catalanes sont pleines de surprises…
Niveau : randonneur: moyen (car sur sentier), mais bonne condition physique requise
Dénivelé : 1100 m environ - Equipement : Bonnes chaussures, imperméable, coupe vent - Durée : 6 h 00
Conditions : Licence assurance journalière (non licenciés) 3 €,
Repas : repas tiré du sac, vin et apéro bienvenus.
Départ : 7 h 30 Parking Piscine de Perpignan de Perpignan ou 8 h 00 au parking à l’entrée de Marquixanes
Après la saison hivernale, et avant que les hauts sommets soient suffisamment accessibles aux randonneurs, des sommets proches et néanmoins méconnus comme ce roc Mosquit sont intéressants à parcourir. Il fait parti de ces postes avancés du Canigou au dessus de Prades et de la plaine du Roussillon qui, de part sa position géographique, est à l’abri de la tramontane ce qui peut être appréciable. Ne vous laissez pas impressionner par le dénivelé car comme de nombreuses approches du Canigou, le sentier est très praticable et la montée comme la descente (relativement) courtes, donc il suffit de trouver son rythme ; cela va tout seul ou presque et nous mettra en jambes pour la suite… Si la montée est en grande partie dans la forêt, à son point culminant, le point de vue est (normalement) bien dégagé en quasi surplomb sur la plaine, et la descente sur des « solanes » (prairies orientées vers le sud) nous amènera vers des orris « géants », à l’architecture rare.
Durée : 4 h 30 - Dénivelé : 600 m - Difficulté : moyen
Conditions : licence annuelle 32 euros ou assurance journalière 3 euros
Repas : grillade : apporter apéro, vin, eau, viande…
Départ : 8 h 45 au parking de la piscine du Moulin à Vent à Perpignan ...... Ou 10 h au parking à Olette
Un peu d’histoire…
La plus ancienne mention du lieu d’Evol remonte à 957, date à laquelle il est fait donation au monastère de Ripoll, de la « villa Evolo »et de ses terres, par le comte de Cerdagne Seniofred.
Village en espalier, les maisons sont groupées sur les pentes d’une colline de la rive gauche de la rivière Evol. Ce petit torrent a creusé dans la vallée un sillon profond de 10 kms de long où se faufile l’ancien chemin de transhumance (le cami ramader) entre murs de pierres sèches formant d’innombrables terrasses en escalier réservées aux cultures. Il passe d’une rive à l’autre par des ponts de pierres ou de bois, rejoignant plus haut d’immenses pâturages où subsistent encore de nombreux cortals ou bergeries pour la plupart en ruines.
Le village est dominé par un château féodal massif et impressionnant. Le château est cité en 1260 lorsque Guillem de SO reçoit l’investiture féodale des châteaux de Sahorre, Eus, Puigvalador et Evol des mains du roi d’Aragon, Jacques 1er le Conquérant. La chapelle castrale, dédiée à St Etienne, a été construite en dehors de l’enceinte à la même époque vers 1260. Le château fut érigé en vicomté en 1335. C’est au vicomte Joan de So que l’on doit l’érection du château de la Bastide d’Evol (près d’Olette).Depuis cette date, le château d’Evol n’était habité qu’en temps de guerre.
Durée : 4 h 00 - Dénivelé : 250 m - Difficulté : facile - Conditions : licence annuelle 32 euros ou assurance journalière 3 euros
Repas : pas de grillade repas tiré du sac avec apéro, vin , eau …
Départ : 7h 45 au parking de la piscine du Moulin à Vent à Perpignan ***** un 2ème rendez vous est fixé à 8h 30 au Perthus, à la sortie de la zone frontière espagnole au dernier parking gratuit
se trouvant à votre droite
Au cœur du Parc Naturel de la Zone Volcanique de la Garrotxa
Le parc s’étend à travers la haute vallée de Fluvia jusqu’à Castellfollit de la Roca couvrant une superficie de 11300 ha.
Le circuit proposé permet de découvrir de manière différente des sites des plus remarquables, d’une grande beauté naturelle.
Tout d’abord la célèbre Fageda d’en Jorda est une hêtraie exceptionnelle.
En sortant de la Fageda, le chemin grimpe jusqu’aucol de Battle et Sant Miquel de Sacot, une église romane du XIe siècle. Il descend ensuite à la plaine de Sacot et chemine au flanc du volcan de Santa Margarida :
Besalu
Situé à la confluence de deux cours d’eau, la Capellada et le Fluvia, Besalu se caractérise par son aspect médiéval qui en fait son charme. La ville a été préservée grâce à un immense travail de conservation et restauration. Le village a été classé site historique en 1966.
Besalu est un carrefour important de communications au cœur de la Garrotxa.
Son ensemble historique est l’un des mieux conservés de Catalogne avec ses édifices religieux et civils de grand intérêt, telle que l’église du monastère de Sant Pere, fondée en 977.
Sur la place de cette église, on trouve la Casa Cornella ou casa Llaudes, considérée comme l’un des édifices romans civils les mieux conservés de Catalogne.
L’hôpital de Sant Julia, avec sa façade du XIIe siècle, l’église romane de Sant Vicenç présentant quelques éléments de transition vers le gothique, l’édifice de la Curie Royale et la Collégiale de Santa Maria sont d’autres exemples du considérable patrimoine de la ville de Besalu à laquelle on accède par le Pont Vell, érigée au XIe siècle.
Avec ses 105m de long, le pont fortifié, dont l’image représente l’emblème de la ville, permet l’entrée au vieux quartier juif.
Découvert en 1964, la mikwa (anciens bains rituels juifs de purification) est le premier et seul édifice en son genre en Espagne. Une importante communauté juive s’établit à Besalu de la fin IXe au XVe siècle.
Randonnée en raquettes
Dénivelé : 670 m - Durée : 6 heures - Niveau: randonneur en forme
Équipement requis : vêtements chauds, raquettes cramponnées, bâtons, guêtres, gants, lunettes.
Départ : Rendez-vous pour covoiturage et départ conseillé à 7h de la piscine du Moulin à Vent, pour être au rendez-vous vers 9 h sur le parking du col de Puymorens.
En cas de doute sur les conditions d'accès appelez-moi au 06 67 39 17 10 pour un point météo
Repas ä: individuel, tiré du sac. - Assurance / participation pour les non licenciés : 3€
Plutôt que le Pic de Font Viva dont l'enneigement reste très médiocre, c'est le Pic de la Mine qui nous est proposé. Comme prévu initialement, nous partirons tout en douceur du col de Puymorens mais cette fois-ci vers l'ouest, sur de grands espaces qui ont gardé une bonne épaisseur de poudreuse.
Nous marcherons à l'écart des pistes de ski de la station de Porté que nous abandonnerons pour atteindre directement et sans risque la crête en direction du sommet.
Dès le départ le panorama est époustouflant et le reste ...
Durée : 5 h 00 - Dénivelé : 520 m - Difficulté : facile à moyen - Conditions : licence annuelle 32 euros ou assurance journalière 3 euros
Repas : grillade : apporter apéro, vin, eau, viande…
Départ : 8 h 30 au parking de la piscine du Moulin à Vent . . . ou à 9h 05 au parking de la place centrale du foiral à Ille sur Têt
un peu d’histoire…
Perché à 640m d’altitude, Prats de Sournia est un village pittoresque blotti au pied de la tour. Surnommé le balcon du Fenouillèdes, on découvre un point de vue superbe sur les Corbières, la mer et le pic du Canigou. La tradition orale est toujours vivace : les habitants appellent le haut du village « le château ».
La 1ère mention du lieu remonte à l’an 1011.La bulle du pape Serge IV mentionne en effet un alleu possédé par l’abbaye de Saint Michel de Cuixà « in villa pratis » dans la vallée de Sournia. Le toponyme évoque la présence de prés (pratis en latin) donc de lieux d’élevage. Un lieu dit actuel les Prazels (petits prés) renforce encore cette notion. Le village était situé sur un important chemin de transhumance.
L’appellation actuelle ne date que de 1933. Le déterminant de Sournia a été rajouté, lorsque Sournia est devenu chef lieu de canton, pour distinguer ce Prats de ses homonymes de Prats de Mollo et Balaguer.
Le village est dominé par une tour quadrangulaire dont on ne sait trop si elle fut une simple tour à signaux ou si elle faisait partie d’une fortification plus importante. Elle fut ensuite transformée en horloge municipale.
Le village comptait 12 feux en 1367 soit une cinquantaine d’habitants (un feu correspond à un foyer de 4-5 personnes) puis 47 feux en 1789.Le maximum est atteint en 1856 avec 337 hab. et le minimum en 1999 avec 58 hab. Aujourd’hui on dénombre 70 hab.
La vigne déjà présente à la fin du XVIIIe s s’est substituée progressivement aux céréales. Elle constitue aujourd’hui avec l’élevage la principale ressource du village.
Niveau : randonneur, moyen - Dénivelé : 600 m environ - Equipement : bonnes chaussures, raquettes, imperméable, vêtements chauds d’hiver
Durée : 5 h 00 - Conditions : assurance journalière (non licenciés : 3 €),
Repas : repas tiré du sac (pas de grillade, mais vin et apéro bienvenus).
Rendez-vous le dimanche 4 mars, départ 7 h 15 à la piscine du Moulin ou 9 h 00 aux Angles, parking du Pla del Mir (parc animalier).
Cette randonnée pourrait s’intituler « à la recherche de la neige perdue ». Etant donné l’extrême concentration des zones enneigées, nos allons à nouveau retourner en Capcir. Cet itinéraire est un grand classique de la randonnée raquettes, très plaisant, aux paysages variés, sans grosse difficulté. Bref, un terrain idéal pour découvrir et apprécier la randonnée raquette, tout en faisant plaisir aux amateurs un peu plus chevronnés. Le Mont Llaret, de part sa position décalée est un splendide belvédère, le site du lac d’Aude est un des hauts-lieu de notre beau département dont on ne se lasse pas, et nous pourrons au passage débusquer quelques petits étangs « cachés » dont nous avons le secret.
Durée : 5 h 00 - Dénivelé : 730 m - Difficulté : moyen - Conditions : licence annuelle 32 euros ou assurance journalière : 3 euros
Repas : grillade : apporter apéro, vin, eau, viande…
Départ : 8 h 30 au parking de la piscine du Moulin à Vent . . . ou 9 h 10 au Perthus à l’ancienne douane côté espagnol.
Un peu d’histoire …
Maçanet était autrefois un village entouré de remparts dont il ne subsiste aujourd’hui que des restes de muraille sur la partie haute et un petit fort du XVIIe s au sud-est du bourg. Le village possède d’anciennes demeures notamment la Casa Olivet qui comporte de peintures sur l’avant toit des combles.
L’église paroissiale de Sant Marti est un monument du roman tardif fortifié aux XVIIe-XVIIIes. Il conserve une pierre tombale romane (XIIe s) provenant de Fontfreda.
A l’extérieur nord de la commune, non loin du col de Céret, se trouve le sanctuaire de la Mare de Deu de Les Salines, répertoriée en 1279.
Pour se renseigner, téléphoner à : Jean-François 04 68 56 81 03 / Didier 04 68 92 91 05
Carte 2249 ET 1/25000 - Dénivellé : 900 m - Difficulté : bonne condition physique. - Durée : 6 h 30 mn
Repas : tiré du sac. - Équipement : hiver, randonnée raquettes.
Hébergement : Gite de la Carline à Caldegas le samedi 18 février. Tarif : 19,62 €
Rendez-vous : Parking du moulin à vent samedi 16 heures ou
Dimanche 7 heures au même endroit ou Route de Valserra au Angles « altitude 1793 » dimanche 9 heures.
Conditions : assurance jounalière (non licenciés 3 €) ou la licence annuelle de 32 €
Souvenir d’un montagnard : Comte Henry Russel (1834-1909). Philosophie des ascensions :
« Un autre effet de la montagne sur l’homme qui s’en éprend, c’est de le rendre rêveur, mélancolique, et de le dégouter de bien des choses qui passionnent ici-bas. Comment ne pas se détacher un peu des joies bruyantes, des faux plaisirs, et de la politique, après s’être enivré de liberté sur des savanes de neige, à 3000m, au dessus des ennuis, des tristesses et des chaînes que nous impose la tyrannie du monde ? Vus de si haut et de si loin , les dynasties, les républiques et les Empires perdent de leur charme et de leur intérêt ; ça ne fait plus d’effet ; on n’y pense plus : et on trouve même que les rochers sont plus sages que les hommes ; car aucun d’eux ne cherche à prendre la place de son voisin.
Quelle bonne leçon ils nous donnent là ! ».