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Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Cet itinéraire permet de gravir rapidement un joli sommet qui domine l’étang du Lanous et les Pyrénées si le temps le permet.
Après une montée boisée vers l’étang de Font Vive, il rejoint une portion du tour du Carlit en balcon jusqu’au barrage de l’étang du Lanous. De là, le dénivelé s’accentue et le sommet du pic de la Coma d’or est atteint par des pentes herbo-caillouteuses.
Le retour s’effectue par une crête facile plein sud qui rejoint le lac par la porteille du Lanous et son rec. La suite par le même chemin qu’à l’aller.
Oxygénation garantie,
Dans cette période troublée rien ne vaut une belle randonnée classique un peu sportive afin de retrouver ses repaires.
Le Puig Péric nous offre de multiples possibilités d’accueil.
Si le temps nous le permet et après le refuge de la Balmette les cheminements sont divers, au centre entre les deux Peric la Coma de la llose nous attend, plus sportif la directe Estany de la llosa vers le Peric et enfin plus classique le petit Peric tranquille.
Suivant le groupe et sa motivation ainsi que ses préférences nous risquons de passer une bonne journée montagnarde.
Après la réussite de cette première rando de déconfinement, nous renouvelons l'expérience ce dimanche pour le plus grand plaisir des Potistes. Cette fois nous restons dans le département dans le Conflent pour retrouver une route historique.
En 1659, pour sécuriser une nouvelle partie de son royaume annexée à l’Espagne, Louis XIV chargea le maréchal Vauban de construire une ligne de fortifications. Pour fournir Mont-Louis en matériel et en hommes, Vauban fait percer deux routes l'une depuis Limoux, l'autre depuis Villefranche de Conflent. Nous emprunterons ce désormais chemin Vauban.
Nous prendrons le départ du charment village de Canaveilles, d'entrée la montée sera soutenue par la Plana pour atteindre la ligne de crêtes au dessus du village. Par la suite nous basculerons sur l'autre versant pour retrouver le chemin des Canons. Ce large sentier est la vraie route suivie par les troupes de Vauban. Un ingénieur de Vauban avait, en effet, jugé plus opportun de leur faire traverser les forêts de Llançades, situées sur les hauteurs de Canaveilles, plutôt que de suivre la route longeant la Têt au fond des gorges. L'autre avantage de cet itinéraire est la présence de sources, nous passerons à côté de la font Garraba, la font de Guillemet et la font de l'Os. C'est à proximité de cette dernière source que nous quitterons ce sentier pour atteindre le sommet du jour le Serrat del Cortal. Le repas sera lui pris dans un endroit plus accueillant en contrebas autour du chalet du dentiste.
Pour le retour nous emprunterons le chemin Vauban. La descente sera soutenue jusqu'au hameau de Llar après avoir traversé le canal. A la sortie du hameau nous emprunterons la route sur quelques centaines de mètres. Un petit crochet est possible pour découvrir l'église de Sant Andreu. Nous abandonnerons la route au détour d'un lacet. Après une longue descente nous retrouverons un itinéraire plus en balcon pour finir notre balade et retrouver Canaveilles.
Du col de Jau, où nous stationnerons, nous suivrons la piste qui file vers le refuge de Callau. Deux-cents mètres après l’avoir dépassé et bien avant l’ancienne carrière de talc, nous abandonnerons le balisage conduisant dans le vallon de la Castellane et pénétrerons plein sud dans la forêt pour aller chercher la crête où nous découvrirons l’Orri de la Roqueta.
Nous progresserons alors vers l’ouest pour atteindre le Pic de la Roqueta, premier sommet oriental des cinq éminences formant le massif des Madres. Nous longerons les corniches dominant la vallée de Nohèdes en direction du Piló de la Miranda puis du Roc Negre. Retour par el Córrec de Canrec
Jadis propriété de l’une des plus grandes familles de Saint Laurent de Cerdans, le mas Cremadells n’a pas échappé aux heurts de l’histoire. Vendus à la Révolution, il est protégé par son inscription aux Monuments Historiques et par l’attachement de ses actuels propriétaires.
Tout comme celle des De Noell, à qui elle fut apparentée au XVIIe siècle, la famille Cremadells de Saint Laurent de Cerdans était l’une des grandes familles possédantes de la contrée, une fortune fondée sur la terre et la propriété foncière.
A la Révolution française, les biens de « l’émigré Cremadells » furent vendus par la Nation : des terres et une « masia », une ferme avec ses dépendances, dont le corps de logis des maîtres était assez remarquable pour lui valoir le surnom de « château ».
A la fin du XIXe siècle, Abdon Garceries possédait la moitié du domaine qu’il légua à son neveu Pierre, à la condition que celui-ci fasse l’acquisition de l’autre moitié. C’est ainsi que le mas Cremadells échut en héritage à l’arrière-petite-fille de Pierre Garceries, l’épouse de Jean Nivet, actuel propriétaire des lieux................