Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Vers l’an 873, le pays de Fenouillèdes ou « pagus Fenolientensis » ne forme qu’une viguerie, séparée du comté de Rasès mais ne constituant qu’un seul domaine avec lui. Ce comté de Rasès était possédé en commun par Wilfred le Velu, comte de Barcelone, Miron, comte de Roussillon, son frère, et par les deux frères Oliba I et Acfred I, comtes de Carcassonne. Comme on sait que les comtes de Barcelone et ceux de Carcassonne sont de la même famille, on a pu en déduire que, à la suite d’un partage familial, le territoire fut scindé en deux, créant d’un côté le pays de Rasès et de l’autre le comté de Fenouillèdes.
Vers 930, le comté appartient à Seniofred, comte de Barcelone qui, par testament, le cède à son frère Oliba-Cabreta, également comte de Cerdagne.
En 990, c’est Bernard Taillefer, comte de Besalu, qui hérite de son père Oliba le comté de Fenouillèdes......
En raison du manque de neige sur les massifs, je vous propose une petite rando dans les Albères pour débuter cette nouvelle Année. Une montée raide pour arriver sur ce Pic débonnaire, qui offre une jolie vue sur le pic du Canigou et aussi sur la plaine et la mer. La descente plus tranquille sur de jolis sentiers en passant au dessus de Villelongue dels Monts nous offrira une belle vue sur la chapelle Santa Maria del Vilar.
La Tour de Goa, telle une vigie, veille sur les deux vallées de la Rotja et du
Cadi, qui convergent au niveau de Villefranche. Son approche se fera cette
fois-ci au départ de Sahorre, en traversant d’anciennes mines, puis nous
basculerons du col de Vernet vers le versant nord, pour rejoindre le chemin
vers le Pic de la Pena, qui surplombe Vernet. Après une rude montée, nous
serons sur un chemin de crête qui nous mènera plus tranquillement vers la
tour, point culminant de notre parcours, où nous pourrons longuement
apprécier les différents points de vue, balayant autant le massif du Canigou
que la Cerdagne et le Capcir au loin. Bref, une charmante sortie automnale en
Conflent, protégée du vent qui plus est.
La construction du château de Requesens date du XIème siècle, par ordre du comte de Roussillon Gausfred II.
Ce premier château était petit, et aujourd'hui il est caché sous les constructions postérieures. En effet, à la fin du XIXème siècle, le château n'était plus qu'un ensemble de ruines, et c’est en 1893 que Tomàs de Rocaberti, le comte de Peralada, décide de la reconstruire.
Alexandre Comalat, le maître d’œuvre de Figueres, réalise une grande œuvre typique du romantisme et avec de nettes influences modernistes. Malheureusement le nouveau château va lui aussi connaître une période de décadence tout au long du 20ème siècle avant d’être restaurer à partir de 2014.
L’ermitage Notre-Dame de Requesens date de la fin du XVIIe ou du début du XVIIIe siècle, avec des ajouts ultérieurs. Cependant, déjà en 1518, le vicomte Marti Onofre I de Rocaberti obtint une autorisation de l'évêque de Gérone pour construire une chapelle dédiée à Notre-Dame de la Miséricorde au lieu-dit Monteceli ou Mont Requesens.La rando du jour a comme départ et arrivée le village de Cantallops. Pour la montée nous suivrons les vallées de la Ribera de Torrelles et du correc de la Verneda jusqu’au coll de Forcat en contrebas du Puig de Llobregat. Sur la descente nous ferons la pause repas à l’ermitage Notre-Dame de Requesens où la « Cantina » pourra nous recevoir pour boire un verre, un café ou se restaurer selon nos envies. Par la suite, pour rejoindre Cantallops nous passerons par le Coll de Medas.
La SOIRÉE du POT avec ANIMATION MUSICALE après le repas aura lieu au RESTAURANT LE YUCCA (Accueil à partir de 19h30)
Allée des chênes PARC DU CUP-66000 Perpignan
Tel : 04 68 85 56 54
Aller au départ de la randonnée est déjà une aventure, obliquer de Lapradelle vers Montfort en passant par Gincla nous permet de rentrer hors de nos repères.
Ensuite une montée balisée, soutenue, jusqu’à la couillade, puis jusqu’au point de vue de l’Hommenet.
De vastes paysages encore entretenus et pacagés.
Le Pech Pédré au dessous du Pic Dourmidou nous attend avec au final un retour tranquille vers notre lieu de départ.
''La ligne de vie''
Une randonnée physique et exigeante dans un cadre magnifique au dessus d'Amélie-les-Bains.
Elle débute du hameau de Montalba et rejoint la crête du roc de Saint Sauveur.
Une ligne de vie permet de suivre la crête, équipée de cordes pour déescalader des passages délicats par endroits (sujets craignant le vertige s'abstenir …).
On rejoint le col Cerda pour le picnic avec la possibilité, si le cœur nous en dit, de faire un aller retour au Roc de Frausa.
Le retour se fera par la descente sur Montalba par le GR10.
Dominant le village, le château de Mollet appelé plus tard Montferrer est bâti sur un éperon rocheux, El cingle, qui se dresse sur la crête d’une serre descendant des alpages de la Souque vers l’est. Le castrum est mentionnée au XIe siècle (castrum Monte Ferrario : Mont du latin Mons-Montis et château, du fer (latin ferrariu). Il doit son appellation soit parce qu’on y produisait du fer, soit plutôt d’après Lluis Basseda par métaphore féodale (château résistant comme du fer).
Au cours du XIVe siècle le village au pied du château, anciennement appelé villa molleto (967), a pris
progressivement le nom de celui-ci, perdant celui de Mollet. On peut y voir l’expression de la prise de contrôle par le
seigneur châtelain sur le village en contrebas.
L’appellation de Mollet demeure cependant dans le nom de l’église. L’église Sainte Marie de Mollet est mentionnée dès 938. Elle est citée en tant qu’église paroissiale en date du 11 novembre 1159 dans l’acte de consécration de l’église St Etienne d’Arles.......
Je vous propose une randonnée automnale et bucolique dans un endroit où nos pas ne nous portent
que rarement. Voilà donc l’occasion de faire connaissance avec le pays de Sault méridional.
Nous partirons de Roquefort et atteindrons le point culminant de la rando (un majestueux menhir) à
travers une forêt magique (même si par endroits, hélas, les forestiers lui ont fait subir quelques
dommages).
La randonnée sera clôturée par un repas (entre 13heures et 14heures) à l’unique restaurant de
Roquefort tenu par deux jeunes qui méritent d’être encouragés.
La plus ancienne mention du lieu d’Evol remonte à 957, date à laquelle il est fait donation au monastère de Ripoll, de la « villa Evolo » et de ses terres, par le comte de Cerdagne Seniofred.
Village en espalier, les maisons sont groupées sur les pentes d’une colline de la rive gauche de la rivière Evol. Ce petit torrent a creusé dans la vallée un sillon profond de 10 kms de long où se faufile l’ancien chemin de transhumance (le cami ramader) entre murs de pierres sèches formant d’innombrables terrasses en escalier réservées aux cultures. Il passe d’une rive à l’autre par des ponts de pierres ou de bois, rejoignant plus haut d’immenses pâturages où subsistent encore de nombreux cortals ou bergeries pour la plupart en ruines.
Cette vallée fut au Moyen Age riche et très peuplée. Des canaux d’irrigation fertilisaient les terres.
Vignes, vergers et céréales furent cultivées. L’élevage était important. De nombreuses ardoisières furent exploitées autrefois ; l’ardoise (llose) servant à couvrir les toits des maisons.....