soleil

Pot Rando'Club   à Perpignan - Randonnées, Raquettes ...

Nous sommes le samedi 27 juillet 2024    Nous fêtons les : Nathalie - Viktor -   Demain : Cristina - Kristina - Samson -

Pot Randos Club

Image aléatoire

Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :

  • Groupe montagnards : 6 à  8 heures de marche, dénivelé positif d'environ 1000 mètres. Raquettes / crampons en période hivernale.
  • Groupe randonneurs : 4 à  6 heures de marche, dénivelé de 100 à  400 mètres, avec souvent une grillade proposée sur aire aménagée en période autorisée lors de la pause méridienne.

Ces randonnées se pratiquent le dimanche et parfois sur le weekend avec bivouac, refuge ou gîte.
Vous pouvez consulter le programme du semestre en cliquant sur la rubrique "Programme" en haut de la page.

!Pour participer à  une première sortie, veuillez préalablement prendre contact avec l'organisateur de la randonnée .

Didier 06 45 67 54 42 - Jean-François 06 20 40 63 05 - Guillaume 06 89 62 03 00
Cathy 06 52 14 10 16 Jean 06 63 80 33 35
Daniel 06 67 39 17 10 Dominique06 35 31 37 54

Ensuite, il vous suffira de vous rendre sur le lieu de rendez vous à  l'heure indiquée, en principe sur le parking de la piscine du Moulin à  Vent à  Perpignan.
Vous choisirez alors soit, à  titre d'essai, de ne prendre que l'assurance/participation à  cette randonnée (3 euros), soit de souscrire directement à  la cotisation annuelle incluant la licence (35 euros)
Dans les deux cas un certificat médical de non contre-indication à la pratique de la randonnée est exigé.
Pour nous rendre sur le lieu de départ de la rando, nous pratiquons habituellement le covoiturage.


Liens : Chants d'oiseaux - Guide de la Nature - Flore - FSGT - Généalogie catalane partielle -
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le dimanche 7 avril 2013 en raquettes au Pic dels Pedrons

image Dénivelé : 875m+
Durée : 6 heures
Niveau : randonneur en bonne condition physique
Équipement : vêtements chauds et matériel hiver requis.
Possibilité d’hébergement à l’hôtel « Castel Isard » à Porté:
Repas de samedi soir, café et vin compris, nuitée en chambres de 5, draps et couvertures fournis, petit déjeuner : 37€
Départ samedi:16h00 de la piscine du Moulin à Vent.
Départ dimanche: prévoir 2h mini de trajet depuis Perpignan pour être au rassemblement à 9h00 sur le parking de l’hôtel (Bas des pistes de Porté, 200m à gauche après le pont sur le Carol, avant le village). Merci de nous prévenir si vous décidiez de nous y rejoindre le matin.
Repas du dimanche : individuel, tiré du sac.
Assurance / participation pour les non licenciés : 3€

Puisque le climat est frais et humide en altitude cette saison,
(heureux, les amateurs d'étendues neigeuses),

la sortie du 5 mai étant programmée à sec,

elle est donc proposée dans le parc naturel de l'Albera, côté espagnol.

Au plaisir de faire un bout de chemin en bonne compagnie.
Danielle

 

le dimanche 31 mars 2013, randonnée du prieuré de Serrabone à Boule d’Amont Par le coll d’Arques

image Durée : 5 h 00 - Dénivelé : 720m cumulés - Difficulté : moyen
Conditions : licence annuelle de 35 euros ou assurance journalière 3 euros.
Repas : grillade : apporter apéro, vin, eau, viande…
Départ : 8 h 30 au parking de la piscine du Moulin à Vent à Perpignan.

Un peu d’histoire
Au XIème siècle, une église rurale existait en ce lieu Serrabona (la bonne montagne) sous le vocable de Sainte Marie.
En 1082, le vicomte de Cerdagne, Ramon Bernat, y installe une communauté de clercs réguliers observant la règle de Saint-Augustin : les Augustins adoptaient les valeurs monastiques de la vie communautaire tout en mêlant l’action paroissiale séculière, ce qui les distinguait des bénédictins.
La communauté prospère au XIIème siècle et entreprend la reconstruction de l’église qui est consacrée en 1151.
De l’église primitive du XIème siècle subsiste la nef. Le chœur, le transept et le collatéral nord sont du XIIème siècle.

le prieuré de Serrabona
Ainsi ces aménagements permettent la répartition de l’espace entre la communauté régulière et la communauté paroissiale. Les tâches pastorales se déroulaient dans le collatéral qui était l’église paroissiale de la population laïque de Serrabona, alors que dans la chapelle se déroulait la vie claustrale de la communauté religieuse.
Au XIVème siècle, le territoire subit la crise démographique. Les biens du prieuré ne sont plus cultivés directement mais affermés à partir de 1350.
Le XVème est témoin de la décadence religieuse : en 1448 le prieur est déposé pour « crimes énormes » et son successeur impose aux chanoines de résider sur place.
En 1592, le pape Clément VIII sécularise tous les prieurés augustins roussillonnais. L’année suivante, Serrabona est incorporé à la cathédrale de Solsona nouvellement érigée en Espagne.
Dès lors Serrabona n’est plus qu’une simple paroisse rurale qui s’éteint avec la Révolution, la commune étant elle-même rattachée à celle de Boule d’Amont en 1822.
Restauré entre 1906 et 1922, le prieuré est propriété du Conseil Général depuis 1960.
Le prieuré se dresse dans un site splendide et sauvage, sur un versant de la montagne, au cœur d’un écrin végétal de cistes et de chênes verts. Son aspect extérieur étonne par la rudesse de son architecture et la couleur sombre du schiste avec lequel il a été construit.
Derrière sa façade d’une rare austérité, l’édifice renferme une tribune de marbre rose qui frappe par la richesse de sa décoration. C’est un des plus beaux chefs d’œuvre de la sculpture romane : bestiaire fantastique, visages d’un saisissant réalisme, délicats entrelacs floraux témoignent d’une rare maîtrise artistique.

lien(s) : le prieuré    wikipédia    photos

Le dimanche 24 mars 2013 Pic du Bernard Sauvage en raquettes du Col de Jau par les clottes de Madres et les Nou Fonts

image Niveau : randonneur, bonne condition physique nécessaire
Dénivelé : 1000 m environ, modifiable en fonction de la météo
Equipement : bonnes chaussures, vêtements chauds requis
Durée : 6 h 30 environ
Conditions : participation et assurance journalière 3 €, ou 35 euros pour l'adhésion annuelle.
Repas : dimanche : repas tiré du sac (vin et apéro bienvenus).
Départ :Rendez-vous le dimanche à 7 h 15 à la piscine du Moulin à Vent, ou 07 h 45 à Marquixanes.

A l’écart de l’urbanisation, le massif du Madres est l’un des plus sauvages de notre région. Riche d’une faune sauvage.
Il a, par exemple, été le dernier habité par l’ours, qui après sa réintroduction, est revenu s’y « promener ».
Son climat rude, son emplacement exposé à tous les vents y garantissent un enneigement largement au-dessus de la moyenne.
La contrepartie : il vaut mieux prévoir d’être bien couvert
Le parcours proposé, au cheminement riche et varié, ne nous fera pas rencontrer de difficultés techniques particulières, mais du fait de sa relative longueur, il ne doit cependant pas être pris à la légère.
Ce parcours aura la particularité de se dérouler en gavatxeria , quasiment totalement côté audois mais cela n’enlèvera rien à notre plaisir, tant partout « la montagne est belle »...

 

Le dimanche 17 mars 2013, Talairan, le sentier du facteur

image Durée : 5 h 00 - Dénivelé : 360 m - Difficulté : facile
Conditions : licence annuelle 35 euros ou assurance journalière 3 euros
Repas : grillade : apporter apéro, vin, eau, viande…
Départ : 8 h 00 parking de la piscine du Moulin à Vent à Perpignan : il y a 1h15 de route. De Perpignan prendre direction Narbonne. A Sigean quitter la RN et suivre Portel -Taizan les Corbières - St laurent de la Cabrerisse -Talairan.
ou Rdv à 9 h 30 à la FontaineTour sur la place de la République de Talairan

Un peu d’histoire
Sur le territoire de Talairan, 6000 avant J.C., vivaient déjà les premiers paysans, comme l’attestent les nombreux vestiges découverts dans la région. Au IIIe s avant J.C., une population de bergers Ligures mêlés aux Ibères, peut-être de cette tribu des Elysiques qui peuplait le Narbonnais, avait investi la campagne.
Avant l’arrivée des Romains, les Gaulois occupaient les lieux et cultivaient les céréales, la vigne, le lin, les oliviers, grâce à l’influence des Grecs installés sur les côtes depuis plusieurs siècles. Les mines de fer de Fourques étaient exploitées comme le montrent les scories retrouvées aux « Olivières ».
La conquête du pays par les Romains se fait sans grand bouleversement et la pax romana durera cinq siècles.

Notre Dame de l’Ere
Talairan doit vraisemblablement son nom à un vétéran de l’armée romaine, Talarius, qui fit construire une importante villa située à proximité de la source de Saint Vincentou des Condamines, comme en témoignent les débris de tuile et de poteries retrouvés sur place.
Toutefois l’emplacement de cette villa ne correspond pas avec celui du village qui remonterait au Moyen Age.
Des richesse gallo-romaines, il ne reste plus que des débris de poteries, vestiges d’une prospérité anéantie par les envahisseurs : Alamans, Vandale, Wisigoths… Après ces invasions barbares et l’occupation par les Sarrasins, les Francs s’installent dans le pays en 759.
Propriété de la puissante seigneurie de Termes dès 834, Talairan verra se succéder plusieurs seigneurs au gré des mariages et successions.
Talairan était autrefois fortifié et entouré de fossés, encore aujourd’hui en partie aisément localisable. Trois des anciennes portes principales, la porte d’Amont, la porte d’Aval et la Porte Nego Saoumos(la porte de l’ânesse noyée) ainsi que de nombreux vestiges de remparts témoignent de cette époque moyenâgeuse.

La fontaine tour

En 1271, on évoque pour la 1ère fois le « castrum de Talayranno ».Un compoix (cadastre) de 1730 décrit le « Fort de Talayran ». Cet ensemble comportait : une écurie, un four, une étable, un tinal (cellier), une chapelle et un logis fortifié.
Au fil des siècles, l’architecture du village est modifiée, que ce soit avec la création d’une enceinte (remparts, portes), l’avènement de la viticulture (maisons vigneronnes, chais) ou l’adduction de l’eau (fontaines, lavoirs). Aujourd’hui, on peut encore admirer quelques vestiges de ces temps anciens en arpentant les rues du village.

lien(s) : Le chemin du facteur    Photos

Le dimanche 10 mars 2013. randonnée en raquettes au pic de l’Home Mort en partant de Planés

image Cette sortie raquettes nous a conduit au pic de l’Home Mort en partant de Planés

Pour les présents et ils s’en souviennent, le 13 janvier 2013, nous avons gravi le Pic de l’Orri de Planès par la crête sur la gauche de la vallée, dans un froid vif qu’un feu convivial à l’orée de la forêt a permis d’atténuer.
Ce dimanche afin de ne contrarier personne, nous avons pris la crête de droite, par une tire, là aussi forestière et qui nous a forcément amené au sommet.

lien(s) : le gîte

Le dimanche 3 mars 2013 Etang de Bages-Sigean le golfe antique

image Durée : 5 h 00
Dénivelé : 250 m
Difficulté : facile à moyen
Conditions : licence 35 euros ou assurance journalière 3 euros
Repas : grillade : apporter apéro, vin, eau, viande…
Départ : 8 h 30 au parking de la piscine du Moulin à Vent à Perpignan

Un peu d’histoire…

L’actuel étang de Bages-Sigean est le résultat de transformations naturelles et artificielles qui ont modifié la côte languedocienne au cours des siècles et qui se poursuivent toujours.
Quelques millénaires en arrière, ce littoral était très différent de celui que l’on voit maintenant : la mer pénétrait profondément dans l’actuelle plage de Narbonne formant une sorte de golfe, en partie fermée par les Iles de la Clapes, de Sainte Lucie et de Saint Martin.
D’une superficie de 20 000 ha, bien protégé des tempêtes, communiquant avec la Méditerranée par une série de larges passes, ce golfe constituait un idéal abri naturel dont les navigateurs surent profiter. Ce lieu était le théâtre d’un important commerce maritime lié au port de Narbonne, un des plus fréquentés de la Méditerranée occidentale.
Durant les périodes préromaine et romaine, les gros vaisseaux et galères s’arrêtaient aux débarcadères entourant le golfe antique (l’île de St Lucie, de l’Aude, Port la Nautique et Port Mahon). La marchandise était alors transbordée sur des barques à fond plat qui remontaient vers le port de Narbonne.
Le fleuve Atax (l’Aude) se jetait au N-O de ce golfe : Les importantes alluvions charriées firent reculer et comblèrent la partie Nord du Golfe. Les eaux, en se retirant, laissèrent de petits étangs, des marécages. Le cordon littoral ferma presque complètement le golfe ne laissant que de petits graus.
Lorsqu’au Moyen-âge, l’Aude changea son cours inférieur et déplaça son embouchure plus au Nord, l’apport d’alluvions diminua, les transformations et le comblement ralentirent. Le golfe a été séparé en 2 étangs, celui de Bages-Sigean et celui de Campignol l’Ayrolle, par la langue de terre de l’Ardillon empruntée de nos jours par 2 voies de chemin de fer et par le canal de la Robine (ancien lit de l’Aude).
Occupant aujourd’hui une superficie de 5500 ha, l’étang de Bages-Sigean communique avec la mer par le grau de Port la Nouvelle. La plupart des îles de l’ancien Golfe sont maintenant rattachées aux rivages hormis les îles du Soulier et de la Planasse. Sites protégés, les îles de la Planasse, de l’Aude et de Ste Lucie appartiennent toutes au Conservatoire du Littoral et contribuent à la richesse écologique de cet ensemble naturel. L’étang est un milieu très productif où se développent une faune et une flore spécifique au milieu saumâtre.
Dans la partie peu profonde, des salines ont été exploitées depuis la plus haute antiquité. Seuls sont encore en activité les salins de la Palme, de Gruissan et de Port la Nouvelle.
La puissance économique et la position géographique de ce carrefour stratégique décidèrent les Romains à y fonder la première colonie en Gaule : la colonia Narbo Martius et à en faire la capitale de la province conquise, la Transalpine.

C’’est sur ces lieux chargés d’histoire, autour du golfe antique, que le P.O.T. vous y invite.


 

Le Dimanche 24 février, randonnée en raquettes au dessus de Mantet

image Pendant que les bourrasques glacées (-11°) courraient samedi soir dans les rues de Mantet, nous passions une soirée bien agréable dans le confortable gîte La Cavale. Le froid encore plus mordant du petit matin et le vent toujours présent sur les crêtes nous ont aidés à utiliser le plan B. Rejoints par notre amie Cotlliurenca à l'heure du départ, nous avons choisi un itinéraire versant sud, à l'abri et bien enneigé. Après la deuxième passerelle sur le Ressec nous nous sommes engouffrés dans la forêt d'Espantellops. Arrivés sur une ante-cime de la Baga de la Portella nous avons basculé sur L'Alemany. Après moultes glissades ludiques (sur les raquettes pour les uns et sur les fesses pour les uns et les autres) nous sommes alors arrivés au refuge pour y trouver stratégiquement l'abri le temps de la pause repas. Ce n'est qu'après un long moment agréable passé près de la flamme crépitante que nous nous résignions à reprendre le GR en direction du village. Là, entre un grand bol de chocolat brûlant et quelques notes de piano, nous avons fait le bilan (qui ne pouvait être que positif) et nous nous sommes donnés rendez-vous pour la prochaine...

 

Le dimanche 17 février 2013, Randonnée à Saint Michel de Cuixà le Salver

image Le dimanche 17 février 2013, Randonnée à Saint Michel de Cuixà le Salver

Durée : 5 h 00 - Dénivelé : 620 m - Difficulté : facile à moyen
Conditions : licence 35 euros ou assurance journalière de 3 euros
Repas : grillade : apporter apéro, vin, eau, viande…
Départ : 8 h 45 au parking de la piscine du Moulin à Vent à Perpignan

lien(s) : L'abbaye

Le dimanche 10 février, nos raquettes nous ont conduit au pic de la Mort de l'Escolà par les Esquerdes

image La rando a démarré avec quelques flocons depuis le refuge des Conques, blotti au pied de la réserve naturelle de Prats de Mollo-La Preste. Dès le Coll Baix rapidement atteint, nous dominions la haute vallée du Tech formant un cirque barré par l’imposante crête séparant le Roc Colom du Costabonne. Par le Pla de les Eugues et en même temps que le soleil, nous avons atteint les Esquerdes de Rotja, telles les vertèbres pétrifiées d’un Titan figé là pour l’éternité. Elles nous ont guidé vers la Portella de Rotjà où la cabane métallique nous a offert l'abri pour la pause méridienne la bien nommée, car curiosité géographique, nous étions en ce lieu précis sur le méridien de Paris.
Retour sur nos traces du matin.

lien(s) : refuge des Conques    Ballades en Roussillon

Le dimanche 27 janvier, randonnée raquette, depuis le col de Puymorens.

image Dénivelé : 1160 m. - Durée : 8 heures. - Niveau : Randonneur confirmé. - Équipement : bonnes chaussures, vêtements chauds, raquettes.
RDV au plus tard à 9 heures au col de Puymorens.

Dès nos pieds posés sur la neige, nous entrerons en territoire sauvage. La main de l’homme ne l’a en rien dénaturé. C’est à peine si sa présence se fait sentir par quelques constructions plus que discrètes suscitant la curiosité plus que le rejet. Jack London et Herman Melville n’aurait pour rien au monde renié cet espace naturel où l’imagination humaine ne peut que s’enflammer. Nous n’y chercherons pas d’or, pas plus que nous n’y traquerons le Léviathan. Baignés par l’univers minéral recouvert de sa livrée hivernale, nous nous fondrons dans le paysage tels de hardis voyageurs de passage incertains de leur destinée. Nous dépendrons du bon vouloir des cieux. Clémence ou courroux, notre sort en sera jeté. Nos pas n’en seront que plus décidés. Nous ne pourrons résister à l’appel de dame nature, plus fort que tout. Il ne nous en coûtera que du plaisir.
Amitiés.
Gégé.

 

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