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Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Le samedi, un bivouac est prévu à la jasse de Pouzole au dessus et à l’ouest de l’Hospitalet (45 min), dans le secteur à l’embranchement des sentiers des vallées de Ciscar et de Pédourrès. Pour s’y rendre, il faut utiliser le parking prévu pour les randonneurs qui se trouve en amont du village après un pont enjambant l’Ariège. (col du Puymorens – ancienne route de l’Hospitalet – remontée du village – pont – parking).
Le dimanche, le départ est prévu à 8h. La remontée de la vallée du Ciscar passe par le Saut du Taureau et son pont mégalithique, puis, après la retenue de la jasse del Forn, elle rejoint la cabane de la Vésine et l’étang de Ciscar. Le cirque est grandiose avec le cylindre et le pic d’Ascobes qui se détachent sur la crête andorrane.
L’itinéraire continue au nord et par des petits étangs supérieurs, on atteint un couloir raide herbeux qui permet de rejoindre la crête. La vue est belle sur l’étang de l’Albe dominé par les pics de Ruf, de Fontargente et de Rulhe.
Après une descente dans les éboulis, on longe la rive de l’étang de l’Albe puis celle, en aval de petits lacs jusqu’à l’étang de Couart que l’on suit rive gauche. Au déversoir, un sentier cairné permet, en restant à niveau, de rejoindre la couillade de Pédourrés d’où on peut voir en enfilade la vallée du retour. Le lac de Pédourrés fait entendre sa cascade bruyante en contre-bas. La descente le long du ruisseau de Val d’Arques s’effectue en douceur jusqu’à la confluence du départ puis de façon plus raide jusqu’au parking.
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Pour sa huitième édition et pour clore son programme du premier semestre, le POT nous a convié à sa traditionnelle nuit du "14 juillet à la belle étoile ". Cette année, c'était le retour sur l’Albère maritime et plus précisément sur le Puig de Sallfort au sommet duquel nous avons dressé le camp pour un ressopet parfumé au Banyuls pendant qu'à nos pieds les feux d’artifice éclataient de manière simultanée aux quatre coins de la plaine scintillante du Roussillon.
Au beau milieu de la nuit nous avons décidé d'un repli stratégique sur le refuge des Colomates afin de nous abriter de la pluie qui s'était sournoisement installée sur le massif pendant notre sommeil, donnant un petit goût d'aventure à ce périple nocturne.
Après une grasse matinée de circonstance le soleil était revenu, prometteur d'un belle journée et du bel été qui s'installe enfin...
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Après l’ Aneto en Aragon et le Punxo en remplacement des étangs de Siscar, c’est un sommet de prestige le plus haut des Pyrénées Orientales 2921m par le versant Lanoux que vous propose le Pot. Cependant, afin de motiver chacun des randonneurs, un camping convivial vous est proposé le samedi 21 après une courte montée, via la cabane sans « Nom ». Après une nuit sans nuages nos « Hang Wag » nous conduiront au petit matin : 8h pour les puristes, près de la maisons des ingénieurs au bas du barrage du Lanoux. En levant la tête, les curieux ne manqueront pas d’apercevoir au loin la masse imposante du Carlit qui semblera nous narguer pour les uns et nous séduire pour les autres. Après une belle marche d’approche nous finirons par un beau couloir de plus de 400m de dénivelé, très raide qui offre un défit à tous les randonneurs, sans toutefois opposer de réelles difficultés.
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En raison des mauvaises prévisions météo sur la haute Ariège, la rando au départ de l'Hospitalet a été remplacée par un circuit partant de Béna.
L'heure du départ ne change pas. Nous bivouaquerons à la Devesa (à 30/40 mn des voitures). Dimanche nous nous orienterons vers le Punxo par le Ras de Salit et le coll de l'Home Mort. Puis nous longerons la Serra de la Portella de Bac d'Ortella vers l'est avant de redescendre face à la Cerdagne ensoleillée par le Molleret de la Padrilla. Nous suivrons alors le ruisseau bordé de frênes et de noisetiers qui nous montrera le chemin plein sud pour rentrer au camp.
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le POT au TOP... c'est fait!!!
super temps sur l'Aneto
et voilà encore et encore d'autres photos ...
Durant cette période entre-deux saisons, les contreforts du Canigou offrent toujours de belles opportunités de randonnées. Celle-ci va nous permettre de découvrir les vestiges méconnus de la vie pastorale autour du Cady. Pourtant, comme disaient les anciens : « tout le monde devrait connaître la Moura » : une magnifique jasse au-dessus d’un ancien « village » pastoral, aux nombreux orris si caractérisques de nos montagnes pyrénéennes orientales.
Nous pourrons aussi apprécier toutes les nuances de l’étage montagnard, de la forêt jusqu’aux belles prairies d’estives.
La faune est également riche et peut-être aurons-nous la chance de croiser les isards, nombreux dans la zone, et d’entendre siffler les marmottes, sortant de leur torpeur hivernale.
Pour cela, après une petite descente, il faudra en passer par une montée sévère, mais il suffit de trouver son rythme et ça va tout seul ou presque…
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Le départ se situe au parking du gite de la Bastide accessible à partir de la route de Saint Paul de Fenouillet à Bugarach après l’embranchement de Camps-sur-l’Agly.
Après une dizaine de minutes de marche sur la piste, on prend à gauche le chemin balisé vers le col d’Echines. La piste serpente entre les hêtres, les chênes et les buis. Une heure plus tard, on arrive au col sur la crête qui s’étire jusqu’au pic de Bugarach. La vue est très panoramique sur la mer et le Roussillon, suivis des piémonts et du Canigou, des Fenouillèdes jusqu’aux sommets ariégeois. On suit la crête en direction du pic qui se détache dans sa majesté (balises jaunes).
Après un petit col boisé, la pente devient plus raide et, après une goulotte équipée d’une corde fixe, un passage plus délicat demande à se servir des mains pour progresser (marches évidentes mais sensation de vide).
Le sentier se détourne ensuite de la ligne de crête pour rejoindre le sommet où nous pourrons pique-niquer si le temps le permet. Par vent violent, des abris sont accessibles en contrebas aux premiers arbres et rochers. La vue vers le nord est appréciable par temps clair (Corbières, Cabardès, Montagne Noire…).
La descente s’effectue parmi les buis par le versant nord de la montagne, surplombant le village de Bugarach jusqu’au col de Linas en bordure de la départementale.
Là, une piste à droite nous ramène au départ en passant devant une belle ferme entourée de ses champs, de son potager, de son poulailler, de ses pâtures…. Un petit paradis tourné vers le soleil levant.
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Un site pittoresque, un lieu paisible, de vieilles demeures typiques, un restaurant dans un cadre rustique, deux secteurs unis par un vieux pont médiéval tel sera le décor voire l’ambiance de ce joyau que représente le village de Beget...
Chers amis potistes il est l’heure de ranger vos raquettes et de sortir vos grilles. En effet pour cette sympathique randonnée de mai il sera possible de griller si le temps le permet. Le départ de la marche sera donné au village martyr de Valmanya (855m). Ce village symbole de la résistance catalane fut incendié le soir du 1er aout 1944. Nous passerons d’ailleurs devant la crypte du souvenir à la sortie du village avant d’emprunter le sentier menant à la maison forestale de l’Estanyol (1479m.). Après une longue montée soutenue nous rejoindrons le GR10 et notre chemin suivra sur les balcons du Canigou. Après un passage devant le roc de l’ours nous atteindrons le col de la Cirère (1731m.). Un dernier coup de rein nous permettra d’atteindre le point culminant de la randonnée le Puig Sant Pere (1791m.). Par la suite nous descendrons par la crête à l’amas rocheux du Collet de Pey (1718 m.). [Si l’heure n’est pas trop tardive et que le vent est clément, les sportifs les plus courageux pourront faire un aller-retour pour une dernière ascension au Puig de l’Estelle (1778m.) et profiter d’un joli point de vue.] Nous entamerons par la suite une descente rapide sur la Pinouse (1360m.). Ces anciennes mines de fer sont devenues un haut-lieu de la Résistance. C’était le point de ralliement des maquisards du Conflent rejoints par un contingent important de guérilleros espagnols. Il fut attaqué le 2 aout 1944 par les nazis. Ces deniers vont capturer Julien Panchot chef du maquis, le torturer puis l’abattre. Après un moment de recueillement, nous pourrons profiter de la grillade et trinquer au souvenir des résistants. Par la suite les pistes et sentiers nous mènerons en douceur à la Bassouse (1205m.). Le dernier sentier caché (nous avons placés plusieurs cairns sur la piste) nous ramènera en rapide descente à Valmanya.
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En remontant la vallée de la Sals, on s’achemine au sud-est de la station thermale de Rennes les Bains vers le village de Sougraigne. L’histoire de cette localité se perd dans les brumes du temps et une hypothèse étymologique, communément admise, pourrait signifier « le grenier du sel ». En effet le village est traversé par la Sals.
C’est au sommet d’une petite vallée que les sources d’eaux salées donnent naissance à la rivière Sals. Au XVIIe s, l’exsurgence était placée de ce fait sous la surveillance de « la Ferme Générale des Gabelles »
Les habitants des environs pouvaient venir s’y approvisionner, se procurant ainsi, rare privilège quand on connaît l’importance du sel à cette époque, tout ce dont ils avaient besoin pour leur consommation quotidienne.
Mais ce droit se transforma en véritable trafic avec les communes voisines, si bien qu’un poste de douane fut installé, afin de sauvegarder les intérêts de l’Etat...
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