Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Encore le Carlit vous me direz oui mais.. par le col des Andorrans qui est une large dépression visible à l’Ouest sur la crête qui unit le Carlit au Pic Oriental du Col rouge.
Pour gagner le col, on traverse le cirque rocailleux et après un petit lac on y accède par des éboulis pénibles.
Ensuite en 1h on monte par l’arête sud sans difficultés majeures au sommet du Carlit.
Le départ s’effectuera depuis La Llau (900m), petit village endormi traversé par La Coumelade. Nous emprunterons un magnifique sentier serpentant dans les bois se transformant en un parcours botanique avant d’atteindre le refuge de Saint Guillem. Nous filerons par un autre sentier tout aussi magnifique jusqu’à La Roque Coucoulère d’où nous gravirons le Puig dels Pastors. Nous aurons alors gravi 1000m.
Ensuite, la crête file jusqu’au Pic dels Tres Vents. Que nous n’atteindrons pas ! La randonnée serait trop longue, le dénivelé beaucoup trop important. Nous essaierons d’atteindre le point coté 2282m, ce qui portera le dénivelé à 1400m. Là, une ruine, certainement un abri de berger, sera le lieu de notre repas.
Pour fêter l’arrivée de l’été, le POT propose son premier bivouac de l’année. Dans un premier temps c’était l’ascension du Set Homes qui était prévue depuis ce camp. Mais s’agissant du weekend précédant le solstice, il a semblé intéressant de participer à notre manière à la Trobada. Cette tradition consiste à apporter au sommet du Canigó un fagot de bois qui brûlera avec des centaines d’autres provenant de la plupart des villages de Catalogne la nuit du 23 juin, donnant ainsi à la plaine et aux vallées le signal d’embrasement des feux de la Saint Jean.
C’est dans la quiétude d'une clairière située à l'écart du chemin que nous planterons les tentes pour y passer la nuit.
A la fraîcheur du matin, nous retrouverons rapidement le sentier venant de Marialles. Nous entreprendrons alors la montée par la cabane Arago, les Plas de Cadi, les lacets débouchant sur la Brèche Durier avant d’arriver au pied de la Cheminée qui nous conduira rapidement au sommet.
Après avoir laissé notre humble contribution, nous redescendrons par le même itinéraire pour nous installer près d'un charmant petit Gourg, où nous partagerons le repas.
La randonnée commence au village de LLo et, après une ascension régulière et soutenue (1000m), on atteint la crête du versant rive droite et, s’il fait beau et que la vue porte loin, ce n’est ensuite que du bonheur : le dénivelé étant pratiquement gravi, il faut suivre un peu la crête puis rejoindre le camp del parones jusqu’au col de Finestrelles puis les sources du Sègre jusqu’au Pla de la Creu avant de « plonger » sur les Bains de Llo au propre comme au figuré, pour ceux qui le veulent et s’il reste assez de temps….. (on peut toujours rêver….).
En 1659, pour sécuriser une nouvelle partie de son royaume annexée à l’Espagne, Louis XIV chargea le maréchal Vauban de construire une ligne de fortifications. Pour fournir Mont-Louis en matériel et en hommes, Vauban fait percer deux routes l'une depuis Limoux, l'autre depuis Villefranche de Conflent. Nous emprunterons ce désormais chemin Vauban entre Olette et le Serrat Del Cortal.
A la sortie d'Olette nous traverserons le pont de Cerdagne, puis nous entamerons une première montée soutenue sur le Serrat de l'Homme. Le chemin emprunte alors des faux plats montants agrémenté de quelques raidillons, nous traverserons les charmants villages de Canaveilles et de Llar. Une fois arrivée à ce dernier village la montée sera soutenue jusqu'au Serrat del Cortal.
Si le temps le permet nous pourrons griller à côté du ***************, le lieu est bien aménagé pour l'occasion.
Aprés le repas, le retour se fera par le chemin des Canons. Ce sentier plus large est la vraie route suivie par les troupes de Vauban. Un ingénieur de Vauban avait, en effet, jugé plus opportun de leur faire traverser les forêts de Llancades, situées sur les hauteurs de Canaveilles , plutôt que de suivre la route longeant la Têt au fond des gorges. Mais au lieu de redescendre sur Canaveilles nous suivrons les pistes et chemins sur la crête pour rejoindre à nouveau le Serrat de l'Homme. La boucle sera alors bouclé et nous pourrons retrouver le village d'Olette.
Le Pic Neulos est le plus haut sommet du massif des Albères. Il marque la frontière entre France et Espagne, et si le temps le permet, il offre une vue superbe sur la côte vermeille. Le départ s’effectuera depuis Laroque des Albères, chapelle ruinée Roca Vella. Après avoir franchi la rivière, une montée soutenue sous couvert forestier nous amènera en direction du Roc del Migdia et le coll de l’Artiguet. Le sentier coupe une piste. Le Pic Neulos ne sera plus très loin, la montée, toujours soutenue. Direction ensuite le Coll de l’Ullat, le Casot del Guarda pour un retour vers Laroque des Albères.
Maçanet était autrefois un village entouré de remparts dont il ne subsiste aujourd’hui que des restes de muraille sur la partie haute et un petit fort du XVIIe s au sud est du bourg. Le village possède d’anciennes demeures notamment la Casa Olivet qui comporte de peintures sur l’avant toit des combles. L’église paroissiale de Sant Marti est un monument du roman tardif fortifié aux XVIIe - XVIIIe s. Il conserve une pierre tombale romane (XIIe s) provenant de Fontfreda. Dans son combat contre les Maures, Roland a laissé des traces de son passage dans les Pyrénées catalanes. Beaucoup de lieux dits rappellent le souvenir de Roland et de ses adversaires. Dans le Vallespir on y trouve les empreintes du pied de Roland, le tombeau ou la caixa de Rotllan (caisse ou cercueil), la cova de Rotllan, l’abeurador de caball de Rotllan (l’abreuvoir du cheval de Roland)… Tous ces toponymes n’ont fait qu’alimenter la légende locale du héros Roland du cycle épique de Charlemagne...
Le POT a programmé une randonnée sur trois jours le weekend de la Pentecôte, les 14, 15 et 16 mai 2016.
Cette sortie conditionnée à une météo favorable mais également à l'ouverture effective du refuge de Baysselance n'a pu se réaliser. Comme prévu, un projet de substitution a été proposé au groupe en Cerdagne catalane: El Puig de la Carabassa 2738m et els Estanys de la Muga avec hébergement en gîte dans le petit village de Talltendre.
Perché à 640m d’altitude, Prats de Sournia est un village pittoresque blotti au pied de sa tour. Surnommé le balcon du Fenouillèdes on découvre un point de vue superbe sur les Corbières, la mer et le pic du Canigou.
La 1ère mention du lieu remonte à l’an 1011.La bulle du pape Serge V mentionne en effet un alleu possédé par l’abbaye de Saint Michel de Cuixà « in villa pratis »dans la vallée de Sournia. Le toponyme évoque la présence de prés (pratis en latin) donc de lieux d’élevage. Un lieudit actuel les Prazels (petits prés) renforce encore cette notion. Le village était situé sur un important chemin de transhumance.
L’appellation actuelle ne date que de 1933. Le déterminant de Sournia a été rajouté, lorsque Sournia est devenu chef-lieu de canton, pour distinguer ce Prats de ses homonymes de Prats de Mollo et Balaguer.
Le village est dominé par une tour quadrangulaire dont on ne sait trop si elle fut une simple tour à signaux ou si elle faisait partie d’une fortification plus importante. Elle fut ensuite transformée en horloge municipale. La tradition orale est toujours vivace : les habitants appellent le haut du village « le château ».......
Le Mirador du Donezan
Dominant directement la station de ski de Mijanès , le pic de Tarbézou, jouit d’une grande réputation , à tel point que son ascension est aujourd’hui devenue une classique incontournable de la région.
Nos raquettes ou nos pas nous conduiront vers la Bergerie (1720m) afin de longer tranquillement le ruisseau de la Maure.
Sous la surveillance du géant du Donezan, nous bifurquerons, vers le pic de la Coumeille de l’Ours ou une montée rapide nous conduira au sommet tant désiré.
La descente nous offre une quantité de solutions, que nous prendrons en fonction des conditions météorologiques.