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soleil

Pot Rando'Club   à Perpignan - Randonnées, Raquettes ...

Nous sommes le mardi 19 mars 2024    Nous fêtons les : José - Josée - Joséfina - Josep - Joseph - Josèphe - Joséphine - Josette - Josiane - Josianne - Jozef -   Demain : Alessandra - Herbert - Svetlana - Wulfran -

Pot Randos Club

Image aléatoire

Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :

  • Groupe montagnards : 6 à  8 heures de marche, dénivelé positif d'environ 1000 mètres. Raquettes / crampons en période hivernale.
  • Groupe randonneurs : 4 à  6 heures de marche, dénivelé de 100 à  400 mètres, avec souvent une grillade proposée sur aire aménagée en période autorisée lors de la pause méridienne.

Ces randonnées se pratiquent le dimanche et parfois sur le weekend avec bivouac, refuge ou gîte.
Vous pouvez consulter le programme du semestre en cliquant sur la rubrique "Programme" en haut de la page.

!Pour participer à  une première sortie, veuillez préalablement prendre contact avec l'organisateur de la randonnée .

Didier 06 45 67 54 42 - Jean-François 06 20 40 63 05 - Guillaume 06 89 62 03 00
Cathy 06 52 14 10 16 Jean 06 63 80 33 35
Daniel 06 67 39 17 10 Dominique06 35 31 37 54

Ensuite, il vous suffira de vous rendre sur le lieu de rendez vous à  l'heure indiquée, en principe sur le parking de la piscine du Moulin à  Vent à  Perpignan.
Vous choisirez alors soit, à  titre d'essai, de ne prendre que l'assurance/participation à  cette randonnée (3 euros), soit de souscrire directement à  la cotisation annuelle incluant la licence (35 euros)
Dans les deux cas un certificat médical de non contre-indication à la pratique de la randonnée est exigé.
Pour nous rendre sur le lieu de départ de la rando, nous pratiquons habituellement le covoiturage.


Liens : Chants d'oiseaux - Guide de la Nature - Flore - FSGT - Généalogie catalane partielle -
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dimanche 31 mars 2019 - Chapelles romanes - Conat**

image Conat est situé sur un éperon rocheux qui domine le confluent de deux rivières : le Caillan et l’Urbanya. Le terroir a été soumis à une intense exploitation agro-pastorale avec un maximum d’activité au XVIIIe et XIXe siècle, au plus fort de l’expansion démographique. L’essentiel du terroir était réservé à la dépaissance du cheptel. Aujourd’hui le terroir est quasiment déserté: le village ruiné de Nabilles et la chapelle Sainte-Marguerite en sont les témoins de cet abandon.
Ancienne baronnie de la Vall de Conat, le château domine le renflement de deux rivières. Le nom de Conat est d’origine celtique (Condate=confluent). En effet le château et le village sont situés à la confluence de deux rivières : le Caillan et l’Urbanya.
Conat est mentionné pour la première fois dans les archives de Saint-Michel de Cuxa en 977. Un peu mieux conservé que le château d’Arria (Ria), Conat présente le rez-de–chaussée d’un donjon rectangulaire avec porte couverte par un arc plein cintre et une salle voûtée en berceau brisé. Il reste aussi la chapelle dédiée à Sainte-Madeleine et quelques éléments de l’enceinte.
Comme à peu près tous les châteaux du bas et moyen Conflent, Conat est bâti en plaques de schiste, matériau qui bonde sur place, mais qui ne permet pas de caractériser une époque plus qu’une autre. Ce qu’il y a de sûr, c’est que la famille de Conat existait au moins à la fin du XIe siècle car, en 1090, Gaufred de Conat signe, en qualité de témoin, une donation à l’abbaye de Lagrasse par un seigneur de Mosset...

 

dimanche 24 mars 2019 El Roc Marí et El Madres***

image Nous démarrerons du petit hameau d’Odelló de Réal, juché sur la rive Est du lac de Puyvalador. La pénurie de neige remet en question l’itinéraire de montée prévu initialement par le Serrat de l’Ós. C’est donc le traditionnel GR de Pays distribuant les coquets refuges Oller et Becet que nous emprunterons jusqu’au Madres.
Au retour, nous suivrons la crête jusqu’au coll dels Gavatxos depuis lequel nous rejoindrons le Roc Marí à quelques minutes de marche en contrebas. La suite se fera soit par l’itinéraire du matin, soit si le cœur nous en dit, par el Bac de les Planes pour retrouver Odelló avant d’aller faire le bilan de notre périple capcinois en partageant fines mousses et chocolats chauds…
Sur les crêtes, le faible enneigement devrait nous permettre d’observer les vestiges de deux dolmens avec tumulus bravant les éléments en cette altitude exceptionnelle depuis plusieurs milliers d’années.

 

Dimanche le 17 mars 2019 Belesta* - A travers les âges...

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Dominant le village, le château médiéval abrite depuis 1992, un musée de la Préhistoire où est exposé le matériel archéologique découvert tout récemment à proximité du village, dans une vaste grotte la Cauna de Belesta. Le château de Belesta est construit sur un éperon rocheux sur lequel est adossé le village. Un village dont le vaste territoire a vu pousser des millions de ceps de vigne qui en font aujourd’hui la renommée. La découverte en 1983 dans la grotte de la Cauna, de vestiges datant du néolithique moyen (4300-3500 av. J.-C.) confirme que le territoire de Belesta était habité dans des temps reculés. C’est la plus ancienne sépulture collective connue dans le Midi de la France. C’est avec la période carolingienne qu’apparaissent les premiers écrits concernant le territoire de Belesta.
A cette époque............

 

Dimanche 10 mars 2019 CAP DE LLOSADA 2724m ***

image Depuis le col du Puymorens, une longue vallée parsemée d’arbres, bordée de versants abrupts se rapprochant progressivement, jusqu’à étrécir le passage tout au bout. Un petit effort pour passer le verrou, gravir la pente prononcée, atteindre la Portella de la Coma d’en Garcia. Replat incertain, mais néanmoins suffisant, sur lequel il faudra bien se tenir pour poursuivre. Et s’il est une vue magnifique, magique sur la montagne, c’est bien celle qui s’offrira à nous de ce point. Puig Pedros et Coma D’or se jaugeant, rivalisant d’audace, faisant étalage de leur position dominante. Deux monts seigneurs en tenues d’apparat désirant atteindre des sommets. Roches dressées côtoyant les hautes sphères des pulsations célestes, à peine séparées par la Portella Rotja, menu sente escarpée se frayant discrètement passage.
Plongeant depuis la Portella de la Coma d’en Garcia, longeant ces deux massifs vertigineux, la vallée cahoteuse et montueuse menant à l’étang des Bésines. Lieu d’introspection pour marcheur en quête d’absolu. Décor digne de Jack London.
Nous ne tutoierons pas plus le Puig Pedros que le Puig de Coma D’or. Nos pas nous mènerons, par un léger et court dévers après la Portella de la Coma d’en Garcia, à l’Estany de Coma D’or. Surface lisse, brillante sous le soleil, dans l’air frais montagnard. Au-dessus, après un détour, le Cap de Llosada.

 

Dimanche le 3 mars 2019 Taurinyà et le site minier du Salver**

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Les origines antiques de l’implantation du village et de son exploitation minière ne font aucun doute. Le bas du village est implanté sur un crassier attestant la présence d’un four ou d’une forge dès le Ive siècle avant J.C.
En 118 av J.C. l’annexion du grand sud et la fondation de Narbonne par les Romains amènent une gigantesque vague de colonisation. Chaque colon construit une villa urbaine et implante un ou des fundus dans la région qui porte son nom. Ce sont les noms de villages en « à » accentués. Les exemples sont nombreux, dont Taurinyà.
En remontant la vallée de la Llitera nous découvrons Saint Michel de Cuixà. Sur les hauteurs, la tour de Corts serait elle aussi à l’origine un établissement romain et finalement le village de Taurinyà. La densité de ces fundus correspond au maillage d’une villa tous les 2 kms.
Sur les établissements romains cohabitent pratiques agricoles et petites industries. Retiré au pied de la montagne, le site aura nécessairement profité des filons de fer.
L’exploitation du minerai de fer a marqué profondément les lieux de vie du massif du Canigou depuis plus de 2000 ans. De nombreux vestiges disséminés dans le paysage témoignent de cette activité métallurgique millénaire.
Les mines de fer de Taurinyà sont exploitées depuis l’Antiquité…. En effet, une station romaine exploite le fer d’Els Meners, du Serrat ou de La Tour entre le IIe siècle av. J.C. et le IIIe après J.C. Il est vraisemblable que ces affleurements miniers continuent à être exploités pendant le Moyen-Age.......

 

dimanche 24 février 2019 - Pic Pedros de Bena*** (2360m)

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Un Pic un peu oublié.
Ici,point de foule, mais plutôt un espace protégé, propre aux escapades montagnardes des amoureux de la nature.
En remontant rive droite el riu de Brangoli, nous arriverons, après quelques efforts au Molleres de Maura et face à la Serra de la Portella.
A notre gauche, nous cheminerons pas à pas vers le Pic Pedros, majestueux sommet sur lequel si le temps le permet nous prendrons le temps du plaisir du bien manger.
La descente, plus que classique se fera par le tour du Carlit, qui nous ramènera à notre point de départ.

 

Dimanche 17 février 2019 L’ermitage de Saint-Ferréol *

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L’ermitage est situé sur une colline à 300 m d’altitude, à 5 km au nord de Céret en empruntant la route de Llauro, sur la rive gauche du Tech.
Le pays catalan est particulièrement riche en églises paroissiales, en ermitages dédiés à Notre-Dame (près d’une centaine) au point que l’on a pu dire que le Roussillon était « le Jardin de Marie ». Mais, beaucoup de ces ermitages sont des sanctuaires de dévotion créés à la suite d’un vécu, d’un évènement, d’un miracle, du passage plus ou moins historique d’un saint personnage, et dans nombre de cas, de la découverte (de l’invention) d’une statue de la Vierge.
En réalité l’origine de beaucoup de ces sanctuaires s’explique par la volonté de christianiser des lieux sacrés, d’origine païenne.
Le choix de l’emplacement de ces lieux est très varié. Certains ermitages sont retirés en un lieu sauvage et aride comme Notre-Dame de Pena juché sur un sommet dominant une falaise vertigineuse ou N-D de Vie surplombant la vallée de la Têt. D’autres édifices pieux nichent dans un vallon plus riant, dans un écrin de verdure : N.-D. de Coral, la Salud, Juhègues sont ombragés de hauts platanes, N-D de Consolation de marronniers, tilleuls…ou se trouvent dans des sites à la vue dégagée offrant une vue panoramique imprenable. Ils jouent le rôle de vigie : Força Real, N.D. du Château, StMartin de la Roca...

 

Dimanche 17 février 2019 - Roc de Fronteils*** (2100 m) par la jasse de Joucarets

image Dans nos aires de jeu pour les raquettes, le pays du Donezan occupe une belle place. A la fois isolée et proche de Perpignan, cette enclave ariégeoise limitrophe des P.O. et de l’Aude a elle aussi tous les ingrédients pour de belles randonnées raquettes. Nous pourrons ainsi apprécier les grands espaces préservés, des paysages variés, soit au départ d’Artigues, soit sur une des nombreuses variantes limitrophes, en fonction de la neige.

 

le weekend du 9-10 février 2019 Le Roc Scaramus (1868m)***

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Le week-end dans les Pyrénées Audoises, si proches et si peu fréquentées, est devenu un des classiques de nos randonnées hivernales. Le Pays de Sault se caractérise par des plateaux de moyenne altitude, cernés de plusieurs petits massifs propices aux escapades en raquettes. Cette position géographique, aux confins de l’Aude et de l’Ariège, a contribué à préserver la beauté de ces lieux aux paysages magnifiques et préservés. Il allie aussi le plaisir de la veillée dans un gîte comme on n’en fait plus, à l’accueil chaleureux, dont il faut profiter, la propriétaire partant à la retraite. Nos précédents périples ont été perturbés par la météo. Qu’en sera-t-il cette année ? En tout cas, que ce soit à pied ou en raquettes, plusieurs possibilités s’offriront à nous qui valent le déplacement… Et qui sait, peut-être arriverons-nous jusqu’au pic Fourcat ?

 

Dimanche le 3 février 2019 - RODES ROPIDERE **

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Le château se dresse sur un éperon granitique séparé du plateau par un large fossé taillé dans le roc. Il domine le village et surplombe les gorges de la Têt au lieu-dit la guillera avant son débouché sur la plaine.
Construit en l’an mille, le château constituait un véritable verrou. En effet, il assurait la surveillance de la vallée de la Têt, contrôlait le passage du col de Ternère et du canal royal de Thuir (celui-ci alimentait le palais du roi de Majorque à Perpignan).
Sa première mention remonte vers 1080 lorsque le vicomte de Cerdagne-Conflent Ramon prête foi et hommage au comte de Cerdagne Guillem-Ramon pour les châteaux des deux vicomtés qu’il tient en fief de son seigneur. Le château fut inféodé aux barons de Domanova : ces derniers sont mentionnés pour la première fois en 1095 : Pierre de Domanova figure parmi les témoins dans le testament de Guillem comte de Cerdagne. Son fils Pierre Bernard prête serment quelques années plus tard pour le château de Rodès. La seigneurie passera en 1225 dans la maison de Canet. Après la disparition du royaume de Majorque (1344), Ramon de Perellos est nommé par Pierre IV d’Aragon châtelain de Rodès en 1359 en remplacement de Pierre de Millars...

 

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