soleil

Pot Rando'Club   à Perpignan - Randonnées, Raquettes ...

Nous sommes le jeudi 12 septembre 2024    Nous fêtons les : Apollinaire -   Demain : Aimé - Amé - Amy -

Pot Randos Club

Image aléatoire

Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :

  • Groupe montagnards : 6 à  8 heures de marche, dénivelé positif d'environ 1000 mètres. Raquettes / crampons en période hivernale.
  • Groupe randonneurs : 4 à  6 heures de marche, dénivelé de 100 à  400 mètres, avec souvent une grillade proposée sur aire aménagée en période autorisée lors de la pause méridienne.

Ces randonnées se pratiquent le dimanche et parfois sur le weekend avec bivouac, refuge ou gîte.
Vous pouvez consulter le programme du semestre en cliquant sur la rubrique "Programme" en haut de la page.

!Pour participer à  une première sortie, veuillez préalablement prendre contact avec l'organisateur de la randonnée .

Didier 06 45 67 54 42 - Jean-François 06 20 40 63 05 - Guillaume 06 89 62 03 00
Cathy 06 52 14 10 16 Jean 06 63 80 33 35
Daniel 06 67 39 17 10 Dominique06 35 31 37 54

Ensuite, il vous suffira de vous rendre sur le lieu de rendez vous à  l'heure indiquée, en principe sur le parking de la piscine du Moulin à  Vent à  Perpignan.
Vous choisirez alors soit, à  titre d'essai, de ne prendre que l'assurance/participation à  cette randonnée (3 euros), soit de souscrire directement à  la cotisation annuelle incluant la licence (35 euros)
Dans les deux cas un certificat médical de non contre-indication à la pratique de la randonnée est exigé.
Pour nous rendre sur le lieu de départ de la rando, nous pratiquons habituellement le covoiturage.


Liens : Chants d'oiseaux - Guide de la Nature - Flore - FSGT - Généalogie catalane partielle -
Pages Infos : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58

Dimanche 11 octobre 2020 Serdinyà**

image
Le village parait bien triste quand on le traverse : façade abîmée, maisons abandonnées, on se demande même pourquoi Serdinya vit encore. Et puis il suffit de garer son véhicule sur les quelques petits parkings au début et à la fin du village pour mieux le comprendre.
En fait, en le traversant, on ne voit qu'une partie peu fréquenté par les habitants, qui vivent face au Soleil, côté Sud. Quelques petites rues très escarpées descendent vers le coeur du village et rencontrent une rue transversale qui longe la Nationale mais en contrebas. Totalement invisible du haut, elle est plutôt agréable et curieusement on n'entend pas trop la route.
Tout en bas il y a une place centrale en forme de cercle. Elle est arborée et dispose d'une fontaine, d'une aire de grillade, et même d'un parking souterrain. C'est surprenant, on ne s'y attend pas, et pourtant, c'est bien la preuve d’un village dynamique, qui organise des festivités et possède des associations. De l'autre côté de la Têt, se trouve le village primitif et l'église paroissiale.
Il y avait à Serdinya une église paroissiale dont le village était sur la rive droite et un hameau tout proche, sur la rive gauche. Ce hameau était considéré comme un second village (Secundinianum), qui a donné au XIe siècle Segondaniano, puis Sechdeniano au XIVe et enfin Seddiniano au XVIe, puis Serdinya de nos jours.
L'histoire de Serdinya commence durant la période romaine. En 121 avant JC les troupes romaines envahissent le Roussillon et remontent vers la Cerdagne. Peu à peu ils structurent la région et construisent de grandes voies de communication.
La Via Confluentana reliait la plaine à la Cerdagne (l'ancêtre de la RN116), elle était régulièrement parsemée de gîtes d'étape pour faire reposer les voyageurs et leurs chevaux. Serdinya était l'une de ces étapes....

 

Dimanche 4 octobre 2020 Picou Negre** (1856 m) Pays de Sault

image

Après les hauts sommets de la fin d’été, nous allons commencer à descendre en altitude, avec les premiers froids qui annoncent l’hiver qui approche. C’est ainsi que notre route va nous mener dans les Pyrénées Audoises, et plus précisément dans le Pays de Sault, gravir le Picou Negre. Ce dernier est un des sommets secondaires situé au sud de ce « Pays », surplombant la forêt domaniale de Rébenty. Il s’agira en conséquence d’un itinéraire bucolique parsemé de prairies et de forêts, qui nous mènera vers un sommet bien dégagé où la vue vaut bien le détour, malgré son altitude modeste. S’il s’agit d’un itinéraire sans difficultés particulières, je vous invite cependant à faire attention aux chaussures, le terrain risque d’être par endroit boueux.

 

Les 26 et 27 septembre 2020 - Le Cirque de Cagateille*** REPORTEE

image REPORTEE EN RAISON DE MAUVAISES CONDITIONS METEOROLOGIQUES
Programme :
Samedi 26/09/20 Bivouac au pied du Cirque de CAGATEILLE
Dimanche 27/09/20 Circuit par l'ETANG DE LA HILLETTE (1797 m) et l’ETANG D'ALET (1904 m)
Dénivelé: 1000 m
Difficulté : bonne condition physique
Durée : 6h45
Equipement: Rando Equipement haute montagne.
Rendez vous:
Samedi à 13 heures piscine du Moulin à vent ou Baliar Centre (Sur la D117, 5 Km avant St Girons, prendre sur la gauche à la hauteur du "radar cathédrale") où je vous attends vers 15H50
Dimanche à 7H40 au parking du Cirque de Cagateille (980 m)
Carte : N°2048 OT Aulus les Bains au 1/25000.
Conditions : 3€ d’assurance pour les non licenciés FSGT
Merci de me faire part de votre participation

En cas de prévisions météorologiques défavorables une sortie de remplacement pourrait être proposée le dimanche. En pareil cas vous en serez avisés le samedi matin au plus tard (site http://www.potrandos.fr)


Début Juillet, nous nous sommes quittés par la descente bucolique de la vallée glaciaire du Mont Valier (Milouga, Muscadet) et avons laissé la vallée du Riberot pour se retrouver cette fin de semaine, toujours dans le Haut Couserans pour une rando plus intimiste puisque nous la partagerons avec 12 ours (officiellement recensés) sédentarisés dans le massif d'Ustou où la pitance est bonne et grasse (Cf. actualité de cet été).
Nous remonterons en voiture cette magnifique vallée d'Ustou (le Couserans compte 18 vallées qui démarrent de St Girons), ponctuée de granges traditionnelles, qui nous amènera au pied du cirque de Cagateille, considéré de l'avis même des Ariégeois non chauvins comme le 2ème plus beau Cirque glaciaire des Pyrénées derrière celui de Gavarnie.
Si en effectuer la boucle est bien le but de la journée, y ajouter les deux étangs, alors là, c'est le bonheur complet !!!!
Renseignements: Jean D 06 72 78 26 58

 

Dimanche 27 septembre 2020 Trévillach*

image
Une tradition solidement ancrée voudrait que «Trevillach » signifie « les trois villages », ce qui est une vérité historique mais une profonde erreur linguistique. Il y avait bien trois villages sur le territoire actuel de Trevillach. Sequera, Roquevert et Trevillach étaient trois agglomérations différentes, groupées chacune auprès de leur château.
Il faudra attendre la Révolution et la formation des municipalités modernes pour que ces trois lieux soient effectivement réunis.
Cependant, on est en droit de penser que, dès le XIVe siècle, les habitants de Sequera et de Roquevert ont abandonné leur village décimé par les pestes et l’insécurité permanente.
Le village est cité pour la première fois en 1026 sous la forme « Trivilanum ». Quant à son église dédiée à Saint-Martin, elle pourrait être mentionnée en 1109 parmi les diverses possessions de l’abbaye de Lagrasse où apparaît une église St Martin de « Triviaco ». Notons cependant que les chartres énumérant les biens de cette abbaye sont souvent des documents auxquels il faut accorder une confiance limitée......

 

dimanche 20 septembre 2020 Puig Oriental de Coll Roig*** 2804m

image
C’est une randonnée pour les curieux que je vous propose ce dimanche.
Notre départ sera éminemment classique, sur le chemin de l’étang du Lanoux et la cabane de la Coma Joan,
Peu après sur la droite nous attend un sentier inattendu et peu fréquenté.
Nous découvrons en chemin les « Llacs de Coma d’Orlu » en longeant sereinement la Serra de les Xemeneies. Arrivés dans ce site remarquable, le Puig se dévoile à nous : la suite nous la construirons ensemble.


 

Samedi 12 et dimanche 13 septembre 2020 - La Serra de l’Orrí de la Grava*** avec bivouac

image Il est l’un de ces sommets que l’on remarque peu, notre regard attiré par ses illustres voisins de quelques mètres seulement ses aînés.
Et pourtant c’est bien grâce à sa présence que l’Estany Blau reste habillé de son précieux névé tardif à l’ombre de son imposante silhouette rappelant l’échine pétrifiée d’un monstre des temps anciens…
C’est bien lui qui, scindant la haute vallée par son milieu, taquina longtemps le géographe en charge de statuer avec précision le lieu de naissance de la Têt (La Grava ou la Llosa ?)
Et bien voilà l’occasion de lui rendre un bel hommage, à la hauteur de sa discrétion, de son espièglerie, de sa beauté sauvage et de son altitude, ça va de soi…
Illustration: Aquarelle de Vincent Desplanche dont je vous invite à visiter le site https://www.flickr.com/photos/vincentdesplanche/albums

 

Dimanche 13 septembre 2020 - Sorède : le sentier des casots*

image
C’est en 1415 que par acte notarié, le seigneur de Sureda permet aux habitants de défricher et de travailler les terres en friches de la partie de terroirs appelés Las Dechs. La pratique du Tallat i sembrat permettra aux habitants de cultiver la terre pour leurs propres besoins.
Après la Révolution, ce droit d’usage est repris dans le Code Civil, mais ce n’est qu’en 1839 que la municipalité consent à distribuer des vacants communaux sous l’appellation Les Dechs.
Ces tallats étaient louées, à peu de frais, aux familles de Sorède, sur des terres communales, situées sur le piémont des Albères. Ces familles s’engageaient à les défricher et à les mettre en culture. La pente naturelle des parcelles après de longs et pénibles labeurs laissait place à des gradins de terrasses soutenues par des murets de pierres sèches.
L’avantage pour tout le village était de repousser le maquis de bruyères qui favorisait les risques d’incendie. De plus le gros gibier comme les sangliers était éloigné.
La plupart des chefs de famille qui entretenaient des tallats étaient employés à la fabrique de micocouliers, à la scierie ou dans des exploitations agricoles de la plaine. Sur les tallats, ils cultivaient la vigne, plantaient quelques arbres fruitiers comme les cerisiers, les pommiers et l’incontournable figuier à côté de la non moins incontournable citerne. En effet on ne compte qu’une seule source, celle du Pardal.
Aussi, ils installaient des citernes de pierre qui recueillaient les eaux lors des orages provenant des « feixes » (plates-bandes cultivées).
Sur chaque tallat était construit en pierres sèches, un abri ou « barraca » ou « casot », quand le toit était de tuiles pour y mettre leurs outils et de quoi réchauffer le repas apporté du village. Certains possédaient également une cheminée. Aucun abri n’est semblable à un autre. Ce sont des illustrations d’architecture rurale populaire.
Les tallats étaient surtout travaillés les dimanches et jours de fête, en famille, mêlant jeunes et anciens.
La pratique des tallats s’est éteinte avec l’exode rural et le maquis des bruyères a retrouvé tous ses droits et le temps a eu raison des abris.
Aussi, l’Association PASTOR, a restauré quelques abris et a fait le choix difficile, parfois plus de sept familles se sont succédées sur le même tallat, de mettre un nom de famille sur chacun d’entre eux afin de rappeler que les tallats ont été des lieux de vie et de travail et que la montagne de Sorède n’a pas toujours été seulement cet agréable lieu de promenade dont la découverte vous est proposée.

 

Dimanche 6 septembre 2020 - Cambra d’Ase*** (2750m)

image
Après les rudes conditions hivernales du week-end dernier, pour nous rappeler que l’été se terminera dans quelques temps, le cours tranquille du réchauffement climatique peut reprendre son cours. Ce sera donc probablement avec un meilleur temps que nous pourrons gravir le Cambre d’Ase. Si ce sommet emblématique fait parti des classiques de notre département, la montée ici proposée nous fera sortir des sentiers battus. Nous commencerons tranquillement par la vallée d’Eyne, puis lorsque nous sortirons de la forêt, nous quitterons le sentier pour bifurquer par l’orri de baix, et monter hors sentier mais sans grande difficulté jusqu’à la crête, malgré un bon raidillon de plus de 500 m de dénivelé pour l’atteindre… La suite sera plus aisée pour arriver au sommet et profiter de cette sentinelle perchée entre Conflent et Cerdagne.

 

samedi 29 & dimanche 30/08/2020 Pic de les Valletes*** 2793m

image
La vallée de Porta s’étire jusqu’à la Portelle Blanca d’Adorra, ancien chemin des Bons-hommes. Elle nous accueillera pour le bivouac au niveau de la cabane pastorale. Le lendemain, l’ascension empruntera un chemin d’estive à flanc jusqu’à la Jasse de La Cabaneta. Puis, par degrés et passages de cols, nous atteindrons la crête et le sommet offrant une vue panoramique. Le retour variera selon le temps ou les forces restantes.
Les 2/3 de la randonnée se déroulent hors sentier sur pente raide couverte de gispet. Les bâtons seront alors d’une grande utilité.

 

4-5 juillet 2020 Mont Valier*** - refuge

image c'était la dernière randonnée avant la pause estivale.

 

version php = 8.1.29    Administration  -  site créé par Denis Lambert, à Perpignan. Pour tout renseignement, contactez Villa Flore
Nb total de visiteurs: 269111 Nb de visiteurs aujourdhui: 7 Nb visiteurs connectés: 1 - Referencement Google On n'hérite pas de la terre de ses parents ... On l'emprunte à ses enfants (Saint-Exupéry) ... Protégeons la ...