Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
La Vallée d'Orle, très encaissée, reste à l'abri du soleil un bon moment.
Même avec 1400 m de dénivelé, le chemin est d'une facilité agréable, avec pente régulière dans une végétation luxuriante. Cette vallée chargée d'histoire rend une ambiance ''hors du temps''. Un peu comme à l'image des peintres impressionnistes, le port d'Orle laisse un drôle de sentiment : Vent du Sud, décors d'un film de cinéma. Il manque peut être les acteurs !! Mais les voilà, ils arrivent !!!!
La descente vers Montgarri nous aurions pu la partager, comme il est coutume de le faire chaque année le jour de retrouvailles et de convivialité, avec les Couserannais partis rejoindre les Aranais de Catalogne et les Commingeois. Tous des Gascons qui partagent la même culture, la même langue, cette langue traditionnelle transfrontalière.
Si Montgarri constitue un sanctuaire pour les uns, son refuge "Els Amics de Montgarri" nous permettra de passer une soirée inoubliable ou l'eau (de vie) coule à volonté.
Le lendemain, par un parcours en circuit au travers les mines Delh Horcalh , nous atteindrons la Mail de Bulard. Le retour s'effectuera par le port d'Orle.
ATTENTION : Pas de réchaud à gaz pour le café matinal
Cette année, c'est depuis le col des Gascons que la super lune* nous accompagnera jusqu'au pic de Sallfort d'où, du haut de ses 1000m, nous pourrons décrypter l'immense panorama nocturne roussillonnais. Au matin, une promenade est prévue sur les crêtes de l'Albera pour les plus vaillants, l'heure du retour étant au libre choix de chacun. Et pourquoi ne pas terminer par un petit plouf du côté du Racou?
[italic]*Par Super Lune, on entend un phénomène céleste qui tient à deux éléments : notre satellite passe au plus près de la Terre alors qu'il s'agit d'un soir de pleine lune. Elle apparaît ainsi légèrement plus brillante et plus grande qu'une simple pleine lune. En astronomie, on nomme cet évènement "périgée-syzygie"
Nonobstant les festivités et déjà gagné par son don d'ubiquité, le Pot réédite cette petite rando déjà engagée il y a 2 ans et cette fois-ci sans masque.....
Elle nous permettra de remonter la vallée du Peyrelade et ses cascades pour rattraper le Port de Barlonguere, plonger dans le lac Long, pêcher dans le Rond et rattraper le refuge des Estagnous .
Le lendemain nous effleurerons le Mont Valier. Ce seigneur du Couserans, sûrement un des plus beaux d'Ariège est tellement porteur d'histoires et de légendes...
Le retour s'effectuera par les dalles apprivoisées, incontournables qui nous mèneront à l'étang du Milouga, une étape du Chemin de la Liberté.
La randonnée de samedi comprenant le portage du bivouac démarre du refuge du Laurenti dans le Donezan (accessible par la piste forestière à prendre à gauche après Quérigut et le lieu-dit le Mas ou bien par la piste forestière du Bosc Negre à prendre à gauche à l’Auberge sur la D32).
Nous nous installerons sur les bords du lac de Laurenti pour passer une soirée et une nuit, nous l’espérons, agréables.
Le lendemain, nous serons sur place pour démarrer l’ascension du Roc Blanc, douce au départ puis de plus en plus soutenue.
Un vaste panorama s’offrira à nous si visibilité….
C’est depuis le Pla de Barrès, où nous laisserons nos voitures, que commencera notre périple à quelques heures de l’été qui s’annonce généreux. Dans un premier temps nous utiliserons la navette afin d’accéder au barrage des Bouillouses depuis lequel débutera réellement notre randonnée. Après avoir remonté dans son intégralité la rive occidentale du lac, nous nous engagerons dans la magnifique vallée de la Grave par l’itinéraire commun aux deux tours de pays, Pérics et Carlit. Ce parcours de fond de vallée, au profil quasiment rectiligne et plat, nous accompagnera sans trop d’efforts de portage près des sources de la Têt où nous dresserons le camp pour une nuit étoilée dans le calme absolu de la haute vallée de la Grava.
Le matin c’est une belle ascension sauvage que nous entreprendrons vers le sommet le moins visité du massif, nous offrant des vues époustouflantes sur lacs, vallées et sommets alentour.
Un retour fantaisiste à travers les névés récalcitrants, nous ramènera au camp pour envisager notre repli vers la civilisation…
Ne vous chargez pas trop en eau, il y a ce qu’il faut. Pour le reste c’est vous qui voyez… :)
Cette rando de printemps nous amènera au cœur du Ripolles en Catalogne Sud dans l’espace naturel protégé de la Serra Cavallera.
Le départ sera donné de Camprodon, l'un des plus grands villages touristiques de Catalogne. Le développement de cette station, dès la fin du 19ème siècle, est lié au tourisme. Le docteur Robert, à l’époque maire de Barcelone, fut le premier à le recommander à ses patients en 1882.
Notre rando se déroulera sur la crête de la Serra de les Pasteres, où nous enchaînerons trois sommets :
Roquesblanques, Puig del Pla de les Pasteres et La Pedra dels tres Bisbats.
Sur la descente, si le temps nous le permet, nous pourrons faire un crochet au Mas Pomer reconnaissable grâce à son architecture historiciste, à deux pas de la Torre Cavallera. Cette tour de garde stratégique date du 12 ou 13ème siècle, en 1292 Jacques II de Majorque y installa une garde de 12 hommes.
A notre retour à Camprodon, nous pourrons flâner dans le centre ancien et traverser le remarquable Pont Nou datant du 16ème siècle.
Comme tous les ans, les montagnards et les randonneurs du POT se retrouveront pour partager le repas à ''La Table du Curé'' à Cucugnan(11) dans les Fenouillèdes. Jean-françois proposera une randonnée tranquille et je proposerai une randonnée plus sportive mais pas trop fatigante non plus.
Cet itinéraire démarre de Taurinyà et progresse sur un hardi contrefort du Canigó. Il permet de profiter de remarquables vues sur le Conflent en contre-bas et de découvrir des anciens habitats saisonniers pour les estives à l’abri de la pluie, bergers et troupeaux inclus.
Une rude montée mais des récompenses sont au rendez-vous…..
La boucle par le col de Péchines et l’arête Sud-Est du Bugarach offre une grande variété de paysage.
Très ludique, la montée le long de l’arête est de difficulté modérée. Elle nécessite cependant d’avoir le pied sûr et de ne pas être trop sujet au vertige.
Sommet isolé au coeur de l’Aude, le Pech de Bugarach nous offre un somptueux panorama sur les montagnes ariègeoises.
Le retour s’effectue en suivant la large crête puis en descendant par la voie normale jusqu’au col de Linas.
Fenouillet est un tout petit village composé de sept hameaux, dont le principal, « la Vilasse », est encadré par les ruines de deux fortifications : le château de Saint-Pierre au nord et le Castel Sabarda au sud. Au Moyen Age, alors que cette seigneurie était la capitale du Fenouillèdes, un troisième château : le Castel-Fizel lui était rattaché. Il ne reste malheureusement plus grand-chose de sa puissance passée, mais le cadre naturel, et notamment les gorges de Saint-Jaume sont superbes.
La seigneurie de Fenouillet apparaît aux alentours de l’an mille, c’était alors le siège d’une vicomté détenue par les comtes de Besalù. Elle fut officiellement citée pour la première fois en 1070, lorsqu’elle passait sous l’autorité des comtes de Barcelone, avant de rejoindre la Maison d’Aragon qui la conserva jusqu’à la Croisade contre les Albigeois.
Durant ces terribles évènements, nous savons, que le dernier vicomte des lieux, Pierre IV de Fenouillet, prit une part active dans la lutte contre les Croisés et que ses châteaux servirent de refuges à de nombreux chevaliers faidits (dépossédés de leurs biens)................