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Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Au départ des Forquets, après avoir plié le campement, nous sommes montés jusqu'au col de Bise où nous avons quitté la piste pour se diriger directement sur la Collada del Vent. Après avoir cheminé un moment sur le Pla Guillem et déjeuné près de la Font de la Perdiu, nous sommes redescendus par la cabane des Cums sur sentier ondulant au gré des versants.
itinéraire peu fréquenté, très sauvage, varié, offrant des vues splendides sur les sommets et les vallées environnants, paradis des isards, des marmottes et même du renard...
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Le temps incertain et l'orage de la nuit ne nous ont pas découragés pour aller rendre visite à notre Canigou. Et nous avons eu bien raison car le temps a été superbe et nous avons ainsi pu profiter du panorama sur la mer de nuages qui recouvrait le Roussillon depuis ce fantastique belvédère où nous avons partagé le repas avant de redescendre par le même itinéraire du matin.
Après une belle rentrée dans la vallée de Porta, dans les confins de la Cerdagne, le POT nous a emmenés en Haut-Conflent. Mais en lieu et place du Serrat de les Fonts par la vallée de Planès tel que prévu au programme...plan "B" en raison des prévisions météorologiques peu favorables pour cet itinéraire exposé. C'est un circuit de substitution depuis Saint Thomas qui nous a permis de profiter de la beauté des paysages de manière plus sereine, tout en passant entre les gouttes...
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Le beau temps et la bonne humeur étaient au rendez-vous pour la reprise des randonnées après des vacances bien méritées...
Et c'est la vallée du Campcardos, large, aérée et peu pénible à remonter qui nous a accueillis pour ce bivouac de la rentrée au dessus de l'Estany Gros. Dimanche à la fraîche, nous sommes passés par la portella de Meranges pour accéder au sommet d'où, grâce à un ciel particulièrement dégagé, nous avons pu contempler la Cerdagne qui s'étalait sous nos yeux et plus loin les Pyrénées centrales et leurs glaciers.
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Pour parachever la saison de randonnées, nous avons effectué un beau périple sur les cimes ceinturant le village de Mantet. Nous sommes passés par le col de Mantet, le Pla Segala, la cime de Pomarole pour atteindre La Mort de l’Escolà. Un parcours en forêt au début pour se poursuivre sur des espaces dégagés offrant une belle vue. Rejoindre le Roc Colom depuis La Mort de l’Escolà fut une formalité.
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Pour sa septième édition, le POT nous a convié à sa traditionnelle randonnée nocturne du "14 juillet". Cette année, c'est depuis Montesquieu des Albères que nous avons grimpé au travers d'une végétation luxuriante jusqu'au coll de Llinàs où nous avons installé le camp et avons pu admirer les derniers feux d’artifice au dessus de la plaine scintillante du Roussillon.
Comme prévu, dimanche matin, une petite ballade sur les crêtes jusqu'au Saint Christophe avant de redescendre jusqu'à la plage pour terminer cet agréable weekend.
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Les Pics de Coma Mitjana
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Pour sa première randonnée avec bivouac de l’année, le POT nous a proposé un parcours inédit dans le massif du Géant
D’un coté, la haute vallée de Carançà et son chapelet de merveilleux lacs d’altitude qui canalise la plupart des ardeurs montagnardes du secteur.
De l’autre, la Coma de Bassibès dont le confluent généreusement ouvert sur le Ras offre également un accès privilégié sur les hautes cimes.
Et entre les deux, se cachait notre hôte pour le bivouac, l’intime et sauvage Coma Mitjana, la bien nommée Vallée du Milieu.
Départ depuis la station de Vallter 2000, col de la Marrana puis longue traversée dans les pierriers du versant sud du Géant en direction du col de la Coma Mitjana sous lequel, à la côte 2500m, nous avons dressé le camp non loin du lac pour passer la nuit près de quelques névés tardifs dans le silence le plus total.
Au matin c’est un parcours de crêtes qui nous a conduit aux deux sommets avant de boucler par le collet les séparant, de retrouver le camp et de rentrer par l’itinéraire de la veille.
Cette randonnée nous a fait approcher les imposants degrés calcaires de la face nord de la Serra de Cadí. Depuis le village d’Estana nous sommes entrés dans le parc naturel au travers une forêt dense de pins sylvestre et de quelques sapins parmi des affleurements de marnes rouges. Au sortir de la forêt, les immenses falaises se déploient devant nous. De gauche à droite, trois monolithes évidents apparaissent : la Roca Verda, la Roca de l’Ordiguer, le Puig del Quer et, entre ces masses de pierre, la Canal de Cristall qui mène à la crête.
De l’autre côté du pré, se trouve la Font del Pi. Une grande traversée nous mène ensuite au refuge de Prat d’Aguiló d'où la vue porte loin sur la Cerdagne et l’Alt Urgell.
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Un ermitage, de petites chapelles romanes, des gorges encaissées où s’écoulent de grandes cascades, des falaises vertigineuses…tels sont les ingrédients de cette balade transfrontalière, qui du Vallespir, plonge le temps d’une journée dans les Serres Catalanes.
Particulière aussi par la charge symbolique de l’Ermitage de Sant-Aniol, lieu de pèlerinage pour nombre de catalans et lieu de visite pour les amateurs de cascades (Salt del Brull, une cascade de 35m de haut qui marque la partie finale de la descente du canyon du Sant-Aniol.
Situé sur la soulane longeant la Têt entre Fetges et Olette, cette randonnée donne des vues inhabituelles en enfilade des vallées de Planès, de l’Orry, de la Carança et de Nyer.
Elle permet d’apprécier les efforts titanesques d’adaptation des hommes de jadis à ces reliefs très pentus : murets de soutènement, orris de bergers, villages suspendus en pierres sèches de toute beauté dans leur simplicité et, surtout un canal d’irrigation (de 13 km) que l’on suit sur la moitié du trajet.
Des travaux sur quelques tronçons du canal témoignent de l’intérêt toujours actuel de cet ouvrage creusé souvent dans la falaise. Les à-pics sont impressionnants et certains passages très étroits demandent une attention soutenue.
Cette immersion dans ce pays suspendu, contrasté et harmonieux où la vie s’accroche aux versants permet de se ressourcer et de comprendre que la nature est généreuse à condition d’user l’huile de coude.