soleil

Pot Rando'Club   à Perpignan - Randonnées, Raquettes ...

Nous sommes le mardi 14 mai 2024    Nous fêtons les : Mathias - Matthias -   Demain : Denise - Primaël - Victorin -

Pot Randos Club

Image aléatoire

Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :

  • Groupe montagnards : 6 à  8 heures de marche, dénivelé positif d'environ 1000 mètres. Raquettes / crampons en période hivernale.
  • Groupe randonneurs : 4 à  6 heures de marche, dénivelé de 100 à  400 mètres, avec souvent une grillade proposée sur aire aménagée en période autorisée lors de la pause méridienne.

Ces randonnées se pratiquent le dimanche et parfois sur le weekend avec bivouac, refuge ou gîte.
Vous pouvez consulter le programme du semestre en cliquant sur la rubrique "Programme" en haut de la page.

!Pour participer à  une première sortie, veuillez préalablement prendre contact avec l'organisateur de la randonnée .

Didier 06 45 67 54 42 - Jean-François 06 20 40 63 05 - Guillaume 06 89 62 03 00
Cathy 06 52 14 10 16 Jean 06 63 80 33 35
Daniel 06 67 39 17 10 Dominique06 35 31 37 54

Ensuite, il vous suffira de vous rendre sur le lieu de rendez vous à  l'heure indiquée, en principe sur le parking de la piscine du Moulin à  Vent à  Perpignan.
Vous choisirez alors soit, à  titre d'essai, de ne prendre que l'assurance/participation à  cette randonnée (3 euros), soit de souscrire directement à  la cotisation annuelle incluant la licence (35 euros)
Dans les deux cas un certificat médical de non contre-indication à la pratique de la randonnée est exigé.
Pour nous rendre sur le lieu de départ de la rando, nous pratiquons habituellement le covoiturage.


Liens : Chants d'oiseaux - Guide de la Nature - Flore - FSGT - Généalogie catalane partielle -
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Dimanche 20 mars 2016 Le Pic de la Rouquette*** 2345m (en raquettes)

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Puisque la Cerdagne reste cette année désespérément sèche, nous irons dans le massif du Madres, sur son côté nord-est, au climat plus rude soumis aux influences océaniques et du Carcanet. Ce massif, à la fois proche et sauvage est une valeur sûre quant à la neige et un lieu privilégié pour la pratique de la raquette avec ses nombreuses approches possibles. Dans cet itinéraire, dont le départ est proche du col de Jau, après une approche par l’ancienne minuscule station de ski, nous monterons vers le refuge du Callau, malheureusement tombant à l’abandon. Puis nous poursuivrons après le refuge dans la forêt par un ancien chemin d’estives, et nous arriverons sur une large crête, d’abord boisée puis se dégageant progressivement avec les rigueurs climatiques liées à l’altitude. Sur les hauteurs, jusqu’au sommet, nous pourrons apprécier la vue dégagée, si le temps nous le permet…

 

Dimanche le 13 mars 2016 Portus Veneris Paulilles**

image Pour certains de nos contemporains, Port-Vendres fut le port d’embarquement vers l’Algérie et une guerre qui ne disait pas son nom. Pour d’autres, ce fut la terre d’accueil de ceux qui durent la quitter, précipitamment. La vie d’un port est ainsi faite de contrastes.
L’histoire de Port-Vendres, administrativement parlant, ne commence qu’en 1823, date à laquelle elle devient une commune automne. Auparavant, elle était une annexe et son territoire de 1477 habitants a été le résultat d’un démembrement des communes de Collioure et de Banyuls sur Mer, cette dernière cédant les lieux de Paulilles et de Cosprons. Mais Port-Vendres a un passé, même si encore au XVIIe siècle, le site ne comptait que peu d’habitations.
Dès le 1er siècle, Portus Veneris (le port de Vénus) est cité par le géographe Pomponius Mela et un quiproquo existe au sujet de l’existence supposée d’un temple de Vénus que certains autres géographes de renom comme Pline, Strabon ou Ptolémée situent à Portus Veneris. Malheureusement, il n’existe pas le moindre vestige de ce temple et.................

 

Dimanche le 6 mars 2016 LA VIA DOMITIA par le COL DE PANISSARS**

image Depuis plus de mille ans, le col de Panissars et son voisin le col de Perthus marque la limite de deux anciens pagi de l’époque romaine : Roussillon au nord et Empordan au sud. Les fouilles ont établi que la Via Domitia et la Via Augusta passaient en ce lieu. Cette ligne de partage des eaux a plusieurs fois joué le rôle de frontière dans l’Antiquité, entre Gaule et Hispanie, de 1276 à 1344 entre les royaumes de Majorque et d’Aragon, de 1475 à 1493 entre les royaumes de France et d’Aragon, depuis 1659 entre la France et l’Espagne. La recherche de monuments élevés par Pompée et César dans les Pyrénées aura duré plusieurs siècles. Finalement il a été retrouvé au principal passage transpyrénéen de l’Antiquité le « summum Pyrenaeum » (sommet des Pyrénées).
Grâce aux auteurs grecs et latins on sait que Pompée érigea un trophée important, marquant la frontière entre la Gaule et de l’Hispanie, en 71 avant J.-C., au retour victorieux de ses campagnes en Espagne contre les Romains Sertorius et Perpenna et leurs alliés espagnols révoltés contre le Sénat Romain pour commémorer ses victoires et signaler de loin la puissance de Rome.
Le trophée subsista peu de siècles et servira de carrière pour la construction et restauration des forteresses des Cluses et de Bellegarde...

 

les 5 et 6 mars 2016 Le Punxo*** en raquettes (2581m)

image Une tour de guet oubliée.
Ici,point de foule, mais un versant gorgé de soleil où les pins sont plus rares que les grosses pierres de granit ; des vallons aussi,des petites combes et de vastes « ras » d’altitude ; enfin,une tour de guet ,oubliée de chacun ou presque : Le Punxo.
A nos pieds, les profondes entailles du Quérol, du Campcardos et de Font Viva , face à nous les sentinelles de l’Envalira, de la Haute-Ariège et du Puymorens.

 

Dimanche 21 février 2016 - Le Mont Llaret ** - en raquettes

image Il y a un peu plus de deux ans, nous avions profité d’une neige précoce de décembre pour rendre visite à ce belvédère offrant une vue époustoufflante sur le massif du Carlit. Depuis le Pla des Avellans, c’était la Têt qui nous avait alors montré le chemin avant de la quitter pour s’enfoncer dans la forêt de Barrès. Cette fois-ci, la randonnée démarrera du Pla del Mir où nous laisserons les voitures sur le parking des pistes et après avoir dépassé le quartier des mouflons du parc animalier, c’est l’Aude qui nous accompagnera sans difficulté jusqu’à sa source.
Après une brève pause sur les berges du lac gelé, nous nous orienterons vers le nord-ouest pour surprendre le Llaret par son versant sauvage, loin des remontées mécaniques.
Nous y partagerons le repas face au soleil avant de redescendre directement sur le lac et de suivre l’Aude sur sa rive droite jusqu’à la Jaça de Bernardi où nous retrouverons peu après, l’itinéraire de la montée.

 

Dimanche 14 février 2016 Notre Dame de Pena*

image Le mot pena ou penya signifie roche. Il désignait au Moyen Age le château bâti dans le roc sur la montagne. Notre Dame de Pena fut construite sur l’emplacement d’une forteresse citée en 1011 dans le testament de Taillefer, comte de Besalù (Castellum Pena).
Ce château avait un rôle défensif et contrôlait la vallée de l’Agly et son méandre. Il était renforcé, dans la partie la plus haute et la plus escarpée, d’une tour à signaux dont il ne reste plus que la base.En 1111, faute de descendance directe, le dernier comte de Besalù laisse sa succession au comte de Barcelone.
La famille de Pena est citée pour la première fois en 1130 et occupera les lieux jusqu’en1267, date à laquelle le chevalier Pere de Pena cède tous ses droits sur le château aux chanoines augustins d’Espira de l’Agly. Il dépendra ensuite de Notre Dame de Real de Perpignan en 1381.
La découverte de la statue de la Vierge dans une grotte voisine, située au-dessus de la Coume de l’Ermita, est à l’origine de la construction de la chapelle et transforme les lieux en sanctuaire marial.
La chapelle est mentionnée en 1224 dans un legs que lui fait Berenger de Peyrestortes. Après la vente du château de Pena aux chanoines d’Espira de l’Agly, une nouvelle chapelle fut construite sur son emplacement pour accueillir la statue. Abandonnée depuis la Révolution, la chapelle demande à être restaurée...

 

les 30 et 31 janvier 2016 Comus – Pic Fourcat*** (1929 m) en raquettes

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Il est heureux de constater qu’il est toujours possible de dénicher des petits coins de montagne, sauvages, préservés et accueillants. En voici l’un d’eux, aux confins de l’Aude et au tout début de l’Ariège. Sa position géographique a certainement contribué à préserver la beauté de ces lieux. Avec des paysages variés, et des points de vue larges, nous aurons tous les ingrédients pour une belle randonnée raquettes. Nous commencerons par une douce montée dans la forêt du bois de Font Frède jusqu’au Col de la Gardie, puis contournerons les barres du Rocher de Scaramus , avec une dernière bonne grimpette puis c’est la crête avant l’arrivée au Pic Fourcat et sa vue à 360°. La descente, par le hameau en ruines de l’Ourza nous ramènera à Comus. Notre première escapade l’an dernier avait été perturbée par une belle tempête. Peut-être cette année sera-t-elle la bonne ? En tous les cas, le lieu vaut le déplacement…

 

Dimanche le 31 janvier 2016 - Le château de Paracolls**

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Le château de Paracolls se dresse sur une éminence rocheuse aux parois abruptes qui domine sur sa rive droite le cours de la Castellane à l’entrée du défilé des Bains de Molig.
Sa position stratégique et la présence de rochers de Molig située sur la rive opposée lui permettent de verrouiller le passage de la voie qui suit le tracé de la rivière entre Prades, en aval et le col de Jau, en amont, franchissement aisé qui relie la plaine du Roussillon à la haute vallée de l’Aude.
Quelques débris d’une tour formant donjon, des traces d’une citerne reconnaissable à son enduit rose perdue au milieu des décombres et une chapelle en miniature suspendue sur des abîmes, attirent tout au plus l’attention de l’archéologue.
Le système défensif de la vallée de la Castellane, élaborée au cours des siècles s’articule autour de plusieurs fortifications. Outre le château de Paracolls, on note la forcia puis castrum du village de Mosset (mentionné en 1175), le castrum du village de Catllar (1267), la tour de Mascarda (1350) ou encore le castrum de Molitg.
La première mention du château de Paracolls date du milieu du Xe siècle. Il apparaît en 948 sous le nom de castrum Paracollis, ce qui en fait le plus anciennement répertorié pour cette ligne de fortifications.
La famille particulière qui tenait en fief le château de Paracolls, sous la suzeraineté des comtes de Cerdagne se montre pour la première fois au commencement du XIIe siècle...

 

24 janvier - El Refugi de Malniu de Guils de Cerdanya*** (2200m) - raquettes

image Je vous propose une randonnée raquettes atypique pour le club, puisque nous ne gravirons aucun sommet remarquable et ardu. Nous longerons une crête par un sentier, au départ de Guils de Cerdanya pentu, qui nous permettra d’atteindre le Pic Peransau et Roques Feres. Deux pics à peine perceptibles tant ils se fondent dans le décor de la crête. Nous ne serons alors qu’à quelques enjambées de L’estaciÏŒ d’esqui de fons de Guils-Fontanera. Plus loin, La Feixa, plateau marqué par un refuge, malheureusement fermé, dominé par le Roc Roig. Un dernier tronçon, sympathique, plus sauvage, nous mènera au refuge de Malniu.

 

Dimanche 17 janvier 2016 Arles sur Tech et sa tombe mystérieuse**

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La ville d’Arles sur Tech, au pied du mont Canigou, est située sur la rive gauche du Tech et son emplacement actuel n’est pas son lieu de naissance. En effet si la création de la ville se confond avec celle de la primitive abbaye Sainte Marie, celle-ci fut fondée vers la fin du VIIIème siècle sur le site des anciens thermes romains dits « Els Banys d’Arles » soit l’actuel ville d’Amélie-les- Bains.
Le moine fondateur, Castellanus, qui fuyait les persécutions arabes, trouva ici un refuge sur ces terres récemment libérées. A la fin du IXème siècle, le siège du monastère fut transféré par l’abbé Suniefred sur le site de l’actuelle ville d’Arles. Cette abbaye, qui est le plus ancien monastère bénédictin des pays catalans fondé après la libération de l’occupation arabe, gagna rapidement en prospérité, grâce à la protection des comtes de Cerdagne puis de Besalu et elle devint la seconde plus importante du pays, après St Michel de Cuxa.
Le site choisi n’était pas le fruit du hasard mais l’affirmation du contrôle exercé par l’abbaye sur les zones d’exploitation du minerai de fer dont les flancs du Canigou regorgent. L’extraction du fer dans la haute vallée du Riuferrer (rivière du fer) était déjà, à l’époque romaine, une activité reconnue. L’abondance de débris de poteries et d’amphores souvent mêlés aux scories de minerai prouve que l’extraction et le traitement du fer s’effectuaient sur les rives du Riuferrer.
Jusqu’à la Révolution, ce sont les moines qui accordent les concessions minières aux maîtres de forge et ceux-ci installent leurs ateliers de fonte de minerai et du forgeage de fer sur les lieux mêmes d’extraction, à proximité de sites boisés. Car il faut beaucoup de bois pour produire du fer mais on tire parti des zones déboisées qui deviennent des pâtures pour l’élevage des moutons dont on utilisera la laine...

L’EAU MIRACULEUSE:
En 1910, l’abbé Castre, curé d’Arles, mettant au défi les libres penseurs d’expliquer la présence permanente d’eau dans un sarcophage, offrait une prime de 1000 francs à qui percerait le mystère. La somme fut déposée chez un notaire d’Arles et personne ne l’a réclamée.
Voilà donc une histoire d’eau, qui depuis des décennies, a fait couler beaucoup…d’encre.


 

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