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Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Située sur la soulane longeant la Têt entre Fetges et Olette, cette randonnée donne, si le temps le permet, des vues inhabituelles en enfilade des vallées de Planès, de l’Orry, de la Carança et de Nyer.
Elle permet d’apprécier les efforts titanesques d’adaptation des hommes de jadis à ces reliefs très pentus : murets de soutènement, orris de bergers, villages suspendus en pierres sèches de toute beauté dans leur simplicité et, surtout un canal d’irrigation ( de 13 km) que l’on suit sur la moitié du trajet.
Les essences et la flore varient avec l’altitude. Les villages suspendus de Llar et de Canaveilles font partie de la randonnée qui se terminera à Olette devant une boisson bienfaisante.
renseignements: Cathy au 06 52 14 10 16
Départ par le GR10 direction le Coll de Paracolls alt 902 m , l’effort en vaut la peine une belle vue dans la montée, une partie de la randonnée est en sous-bois où nous traverserons de magnifiques forêts de chênes, de sapins et de châtaigniers .
Arrivée au sommet alt 1280m, un magnifique panorama à 360° qui domine la chaîne sud des Pyrénées et du Canigó.
La descente se fera dans une végétation agréable, passage à la fontaine des buis, et retour aux voitures en longeant la rivière du Tech.
L’histoire d’Ansignan ne ressemble pas à une autre par le fait que, de la période moyenâgeuse, on ne sait pratiquement rien. L’église qui, partout, est le monument de référence et le lieu de vie le plus ancien ne date ici que du XVIIe siècle. Elle est dédiée à Saint-Nazaire et Saint-Celse. A-t-elle remplacé un édifice antérieur ? Il en resterait sans doute des traces.
Par contre, plus bas dans la vallée, près du confluent de l’Agly et de la Desix, l’église pré-romane situé au lieu-dit « le Moulin » marque l’ancien emplacement du village. Sa construction date des alentours du IXe ou Xe siècle ; elle est aussi dédiée à Saint-Nazaire et Saint-Celse., ce qui permet de croire que le village s’est ensuite déplacé sur le lieu actuel où quelques vestiges de fortifications existent encore, notamment une porte du XIIIe siècle.
Et pourtant, Ansignan existe depuis bien longtemps, au moins depuis l’occupation romaine, l’aqueduc étant une preuve de l’importance que devait avoir ce lieu ; pont-aqueduc dont les fondations pourraient dater du IIIe siècle (220-270)............
Stationnement au parking du village de vacances, qui se situe après le pont du Tech au rond- point à gauche à la sortie de Prats de Mollo.
Randonnée en majorité en sous- bois , avec de nombreuses zones dégagées.
Départ au parking, pour le Coll de la Guilla (alt : 1194.)
Petite halte à notre Dame du Coral ( alt 1091m) dans un cadre très agréable, la visite des lieux est interssante.
Passage au gîte (Coste de Dalt) qui est ègalement une ferme d’élevage de vache et de brebis.
Nous prendrons le repas autour du gîte, suivant le temps.
Nous descendrons par le Cami de la Retirada et nous traverserons le site de l’accrobranche.
Dès 1011, l’église de Sant Llorenç, annexe de Sainte Marie de Custoja, est placée sous la dépendance de l’abbaye d’Arles.
En 1142, Udalgar, évêque d’Elna, consacre l’église de la villa Custoja en même temps que celle de St Laurent. Puis à nouveau en 1159, Artal évêque d’Elna consacre dans la paroisse de Custoja une église en l’honneur de St Laurent reconstruite par l’abbé d’Arles, le prêtre et les fidèles de Coustouges.
Quant au lieu-dit de Cerdans, il n’apparaît qu’en 1168 dans un document citant parmi les possessions de Custoja, le « manso de Cerdanis ».
Selon Lluis Basseda, le nom de Cerdans serait un vestige de lointaines populations autochtones. Le Vallespir, avec toute la région pyrénéo-catalane du Sègre au Tech, faisait partie à l’époque Ibère du pays des Kerretes (= habitants des montagnes).Ce pays est devenu sous les romains au IIe siècle av J.-C. le Pagus Keretania puis la Cerdanya.
Plus tard lors de la création des comtés carolingiens, la Cerdagne fut réduite au seul bassin du Haut Segre et le Haut Tech se trouva rattaché au comté de Besalù.......
Deux pics sont au programme du jour pour cette randonnée autour de Mosset. Dans la vallée de la Castellane, cette citée d'Arts et d'Histoire est un des plus beaux des villages du département. Aprés la traversée du village, la montée débutera par de petits lacets , puis le sentier en forêt nous ménera au cortal de Peiralada. La randonnée, surtout la montée, sera parsemée de Bergeries ( Cortals) la plupart en ruines. Après avoir passé les 1000 mètres d'altitude le chemin sera moins boisé, et deviendra même plat à 1200 mètres de dénivelé. On attaquera ensuite une petite montée pour gravir le pic del Rossello, d'où une belle vue du Roussillon nous sera offerte.
Une petite descente nous mènera à la cuvette de la Closa où nous emprunterons une piste en direction du col de la creu de Marqueixanes. La dernière ascension nous permettra d'atteindre le roc de les quaranta Creus. Au retour pour ne pas reprendre la même piste au col, nous ferons un petit détour via le cortal d'en Trabis. Puis à la Closa nous prendrons le chemin le plus direct pour descendre sur Mosset
Le lieu de Villanova apparaît dans les sources en 854 dans un diplôme de Charles le Chauve. Le souverain confirme le droit de propriété de deux frères, Sumnold et Riculf , sur des biens situés à Moniano ( Mailloles commune de Perpignan),à Cabanes (commune de St Génis des Fontaines) et à Villanova : du latin villa= ferme puis village et de Nova= nouvelle.
Cette ville neuve fut appelée au X e s « vilanova in radicem Montis Albarie » c’est- à-dire au pied des Albères. Elle gardera son nom jusqu’à l’établissement d’un château sur une éminence voisine au cours du XIe s.
Siège d’une seigneurie importante, le château de Monte Esquivo (Montesquieu), dominant tout le territoire de l’ancienne Villanova, a attiré la population sous ses murs et a donné son nom (1093) au village se développant à ses pieds.
Cette seigneurie, liant le site sommital de Sant Cristau à celui du piémont Montesquieu, tient son origine du château de St Christophe. Bien que le castrum Sancti Cristofori n’apparaisse qu’en 1075, sa construction s’enracine dans le Xe s. La chapelle castrale en ruines qui s’y trouve est très caractéristique des constructions préromanes et est reconnue comme une des plus anciennes du Roussillon (IXe et Xe s).
La famille des châtelains était sans doute établie antérieurement sur le piton de Sant Cristau à 1015 m d’altitude situé à 3 kms au sud du village. Les seigneurs décident de bâtir au piémont, dans la zone des terres cultivées de Vilanova, un château plus confortable que leur nid d’aigle.
C’est chose faite en 1084, lorsque Guillem Bernard, seigneur de Sant Cristau, prête serment au comte Guilabert II du Roussillon pour le château ou forteresse récemment construit à Vilanova.
Cette seigneurie forme un ensemble compact de St Martin et de St Jean d’Albera à Villelongue dels monts et au Boulou. Elle possède aussi des territoires dans la plaine du Roussillon......
Nous retournons vers Valcebollere, charmant village préservé situé au cœur d’une vallée au sud de la Cerdagne. Le site est propice à la randonnée raquettes, et nous allons tenter de profiter des dernières neiges. A partir de la chapelle de Sant Barnabeu, nous remonterons le torrent de la Tossa jusqu’à la 2ème source captée où plein sud, nous rejoindrons la serra de l’Artigua. Puis la crête nous mènera vers la Tossa où suivant le temps et notre envie nous pourrons cheminer vers le Puigmal. Le retour se fera par le goulet du torrent de la Tossa, généralement enneigé jusque tard au printemps.
Après l’abandon des mines de fer et la dépopulation qui a suivi, ce pittoresque village de la vallée de la Rotja, situé sur les contreforts du mont Canigou, vit aujourd’hui de l’agriculture et de l’élevage. La qualité de ses pommes, unanimement reconnue, en fait un fief renommé.
Selon une bulle du pape Agapet II de décembre 950, l’abbaye Saint-Michel de Cuxa possédait un « alleu » in valle Saorra. Trois ans plus tard, une donation du comte Oliba Cabreta nomme le lieu « in valla Savorra ». La graphie Sahorra apparaîtra cependant dès l’an 966. Il est admis par les historiens que le nom a pour origine le latin saburra, dérivé de sabulum (sable) ce qui voudrait dire que, en ces tempslà, Sahorre était un lieu sablonneux. Ici, à cette époque, d’autres établissements religieux possédaient également des biens et des « alleux » : il s’agit du monastère St–Pierre de Camprodon, de l’abbaye de St- Martin du Canigou et de St-Michel de Cuixà......
Une rando particulière,
Partir du Pla des Avellans à la découverte des étangs avec pour point de mire le Pic Tossal Colomer voilà ce que je vous propose.
L’itinéraire nous conduira aux Bouillouses en passant les étangs Negre et LLarg dans un long périple d’au moins 2 heures. Si la météo nous le permet en croisant les estanys Sec et Llat nous cheminerons ensemble vers le Touzal Colomer mais ceci est une autre histoire….