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Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Un Pic un peu oublié.
Ici,point de foule, mais plutôt un espace protégé, propre aux escapades montagnardes des amoureux de la nature.
En remontant rive droite el riu de Brangoli, nous arriverons, après quelques efforts au Molleres de Maura et face à la Serra de la Portella.
A notre gauche, nous cheminerons pas à pas vers le Pic Pedros, majestueux sommet sur lequel si le temps le permet nous prendrons le temps du plaisir du bien manger.
La descente, plus que classique se fera par le tour du Carlit, qui nous ramènera à notre point de départ.
L’ermitage est situé sur une colline à 300 m d’altitude, à 5 km au nord de Céret en empruntant la route de Llauro, sur la rive gauche du Tech.
Le pays catalan est particulièrement riche en églises paroissiales, en ermitages dédiés à Notre-Dame (près d’une centaine) au point que l’on a pu dire que le Roussillon était « le Jardin de Marie ». Mais, beaucoup de ces ermitages sont des sanctuaires de dévotion créés à la suite d’un vécu, d’un évènement, d’un miracle, du passage plus ou moins historique d’un saint personnage, et dans nombre de cas, de la découverte (de l’invention) d’une statue de la Vierge.
En réalité l’origine de beaucoup de ces sanctuaires s’explique par la volonté de christianiser des lieux sacrés, d’origine païenne.
Le choix de l’emplacement de ces lieux est très varié. Certains ermitages sont retirés en un lieu sauvage et aride comme Notre-Dame de Pena juché sur un sommet dominant une falaise vertigineuse ou N-D de Vie surplombant la vallée de la Têt. D’autres édifices pieux nichent dans un vallon plus riant, dans un écrin de verdure : N.-D. de Coral, la Salud, Juhègues sont ombragés de hauts platanes, N-D de Consolation de marronniers, tilleuls…ou se trouvent dans des sites à la vue dégagée offrant une vue panoramique imprenable. Ils jouent le rôle de vigie : Força Real, N.D. du Château, StMartin de la Roca...
Dans nos aires de jeu pour les raquettes, le pays du Donezan occupe une belle place. A la fois isolée et proche de Perpignan, cette enclave ariégeoise limitrophe des P.O. et de l’Aude a elle aussi tous les ingrédients pour de belles randonnées raquettes. Nous pourrons ainsi apprécier les grands espaces préservés, des paysages variés, soit au départ d’Artigues, soit sur une des nombreuses variantes limitrophes, en fonction de la neige.
Le week-end dans les Pyrénées Audoises, si proches et si peu fréquentées, est devenu un des classiques de nos randonnées hivernales. Le Pays de Sault se caractérise par des plateaux de moyenne altitude, cernés de plusieurs petits massifs propices aux escapades en raquettes. Cette position géographique, aux confins de l’Aude et de l’Ariège, a contribué à préserver la beauté de ces lieux aux paysages magnifiques et préservés. Il allie aussi le plaisir de la veillée dans un gîte comme on n’en fait plus, à l’accueil chaleureux, dont il faut profiter, la propriétaire partant à la retraite. Nos précédents périples ont été perturbés par la météo. Qu’en sera-t-il cette année ? En tout cas, que ce soit à pied ou en raquettes, plusieurs possibilités s’offriront à nous qui valent le déplacement… Et qui sait, peut-être arriverons-nous jusqu’au pic Fourcat ?
Le château se dresse sur un éperon granitique séparé du plateau par un large fossé taillé dans le roc. Il domine le village et surplombe les gorges de la Têt au lieu-dit la guillera avant son débouché sur la plaine.
Construit en l’an mille, le château constituait un véritable verrou. En effet, il assurait la surveillance de la vallée de la Têt, contrôlait le passage du col de Ternère et du canal royal de Thuir (celui-ci alimentait le palais du roi de Majorque à Perpignan).
Sa première mention remonte vers 1080 lorsque le vicomte de Cerdagne-Conflent Ramon prête foi et hommage au comte de Cerdagne Guillem-Ramon pour les châteaux des deux vicomtés qu’il tient en fief de son seigneur. Le château fut inféodé aux barons de Domanova : ces derniers sont mentionnés pour la première fois en 1095 : Pierre de Domanova figure parmi les témoins dans le testament de Guillem comte de Cerdagne. Son fils Pierre Bernard prête serment quelques années plus tard pour le château de Rodès. La seigneurie passera en 1225 dans la maison de Canet. Après la disparition du royaume de Majorque (1344), Ramon de Perellos est nommé par Pierre IV d’Aragon châtelain de Rodès en 1359 en remplacement de Pierre de Millars...