Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Randonnée en raquettes
Dénivelé : 670 m - Durée : 6 heures - Niveau: randonneur en forme
Équipement requis : vêtements chauds, raquettes cramponnées, bâtons, guêtres, gants, lunettes.
Départ : Rendez-vous pour covoiturage et départ conseillé à 7h de la piscine du Moulin à Vent, pour être au rendez-vous vers 9 h sur le parking du col de Puymorens.
En cas de doute sur les conditions d'accès appelez-moi au 06 67 39 17 10 pour un point météo
Repas ä: individuel, tiré du sac. - Assurance / participation pour les non licenciés : 3€
Plutôt que le Pic de Font Viva dont l'enneigement reste très médiocre, c'est le Pic de la Mine qui nous est proposé. Comme prévu initialement, nous partirons tout en douceur du col de Puymorens mais cette fois-ci vers l'ouest, sur de grands espaces qui ont gardé une bonne épaisseur de poudreuse.
Nous marcherons à l'écart des pistes de ski de la station de Porté que nous abandonnerons pour atteindre directement et sans risque la crête en direction du sommet.
Dès le départ le panorama est époustouflant et le reste ...
Durée : 5 h 00 - Dénivelé : 520 m - Difficulté : facile à moyen - Conditions : licence annuelle 32 euros ou assurance journalière 3 euros
Repas : grillade : apporter apéro, vin, eau, viande…
Départ : 8 h 30 au parking de la piscine du Moulin à Vent . . . ou à 9h 05 au parking de la place centrale du foiral à Ille sur Têt
un peu d’histoire…
Perché à 640m d’altitude, Prats de Sournia est un village pittoresque blotti au pied de la tour. Surnommé le balcon du Fenouillèdes, on découvre un point de vue superbe sur les Corbières, la mer et le pic du Canigou. La tradition orale est toujours vivace : les habitants appellent le haut du village « le château ».
La 1ère mention du lieu remonte à l’an 1011.La bulle du pape Serge IV mentionne en effet un alleu possédé par l’abbaye de Saint Michel de Cuixà « in villa pratis » dans la vallée de Sournia. Le toponyme évoque la présence de prés (pratis en latin) donc de lieux d’élevage. Un lieu dit actuel les Prazels (petits prés) renforce encore cette notion. Le village était situé sur un important chemin de transhumance.
L’appellation actuelle ne date que de 1933. Le déterminant de Sournia a été rajouté, lorsque Sournia est devenu chef lieu de canton, pour distinguer ce Prats de ses homonymes de Prats de Mollo et Balaguer.
Le village est dominé par une tour quadrangulaire dont on ne sait trop si elle fut une simple tour à signaux ou si elle faisait partie d’une fortification plus importante. Elle fut ensuite transformée en horloge municipale.
Le village comptait 12 feux en 1367 soit une cinquantaine d’habitants (un feu correspond à un foyer de 4-5 personnes) puis 47 feux en 1789.Le maximum est atteint en 1856 avec 337 hab. et le minimum en 1999 avec 58 hab. Aujourd’hui on dénombre 70 hab.
La vigne déjà présente à la fin du XVIIIe s s’est substituée progressivement aux céréales. Elle constitue aujourd’hui avec l’élevage la principale ressource du village.
Niveau : randonneur, moyen - Dénivelé : 600 m environ - Equipement : bonnes chaussures, raquettes, imperméable, vêtements chauds d’hiver
Durée : 5 h 00 - Conditions : assurance journalière (non licenciés : 3 €),
Repas : repas tiré du sac (pas de grillade, mais vin et apéro bienvenus).
Rendez-vous le dimanche 4 mars, départ 7 h 15 à la piscine du Moulin ou 9 h 00 aux Angles, parking du Pla del Mir (parc animalier).
Cette randonnée pourrait s’intituler « à la recherche de la neige perdue ». Etant donné l’extrême concentration des zones enneigées, nos allons à nouveau retourner en Capcir. Cet itinéraire est un grand classique de la randonnée raquettes, très plaisant, aux paysages variés, sans grosse difficulté. Bref, un terrain idéal pour découvrir et apprécier la randonnée raquette, tout en faisant plaisir aux amateurs un peu plus chevronnés. Le Mont Llaret, de part sa position décalée est un splendide belvédère, le site du lac d’Aude est un des hauts-lieu de notre beau département dont on ne se lasse pas, et nous pourrons au passage débusquer quelques petits étangs « cachés » dont nous avons le secret.
Durée : 5 h 00 - Dénivelé : 730 m - Difficulté : moyen - Conditions : licence annuelle 32 euros ou assurance journalière : 3 euros
Repas : grillade : apporter apéro, vin, eau, viande…
Départ : 8 h 30 au parking de la piscine du Moulin à Vent . . . ou 9 h 10 au Perthus à l’ancienne douane côté espagnol.
Un peu d’histoire …
Maçanet était autrefois un village entouré de remparts dont il ne subsiste aujourd’hui que des restes de muraille sur la partie haute et un petit fort du XVIIe s au sud-est du bourg. Le village possède d’anciennes demeures notamment la Casa Olivet qui comporte de peintures sur l’avant toit des combles.
L’église paroissiale de Sant Marti est un monument du roman tardif fortifié aux XVIIe-XVIIIes. Il conserve une pierre tombale romane (XIIe s) provenant de Fontfreda.
A l’extérieur nord de la commune, non loin du col de Céret, se trouve le sanctuaire de la Mare de Deu de Les Salines, répertoriée en 1279.
Pour se renseigner, téléphoner à : Jean-François 04 68 56 81 03 / Didier 04 68 92 91 05
Carte 2249 ET 1/25000 - Dénivellé : 900 m - Difficulté : bonne condition physique. - Durée : 6 h 30 mn
Repas : tiré du sac. - Équipement : hiver, randonnée raquettes.
Hébergement : Gite de la Carline à Caldegas le samedi 18 février. Tarif : 19,62 €
Rendez-vous : Parking du moulin à vent samedi 16 heures ou
Dimanche 7 heures au même endroit ou Route de Valserra au Angles « altitude 1793 » dimanche 9 heures.
Conditions : assurance jounalière (non licenciés 3 €) ou la licence annuelle de 32 €
Souvenir d’un montagnard : Comte Henry Russel (1834-1909). Philosophie des ascensions :
« Un autre effet de la montagne sur l’homme qui s’en éprend, c’est de le rendre rêveur, mélancolique, et de le dégouter de bien des choses qui passionnent ici-bas. Comment ne pas se détacher un peu des joies bruyantes, des faux plaisirs, et de la politique, après s’être enivré de liberté sur des savanes de neige, à 3000m, au dessus des ennuis, des tristesses et des chaînes que nous impose la tyrannie du monde ? Vus de si haut et de si loin , les dynasties, les républiques et les Empires perdent de leur charme et de leur intérêt ; ça ne fait plus d’effet ; on n’y pense plus : et on trouve même que les rochers sont plus sages que les hommes ; car aucun d’eux ne cherche à prendre la place de son voisin.
Quelle bonne leçon ils nous donnent là ! ».