Venez nous rejoindre pour randonner en toutes saisons dans nos belles Pyrénées (Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Catalogne...)
Deux niveaux sont proposés :
Le château se dresse sur un éperon granitique séparé du plateau par un large fossé taillé dans le roc. Il domine le village et surplombe les gorges de la Têt au lieu-dit la guillera avant son débouché sur la plaine.
Construit en l’an mille, ...
Les gorges de la Guillera: S’il est un site pittoresque méconnu du public, c’est bien celui des gorges de la Têt ou du lieu-dit la Guillera. Moins impressionnant depuis que les eaux de la rivière ont été domestiquées par le barrage de Vinça, le paysage conserve pourtant une beauté sauvage et inquiétante. C’est de cet incroyable décor que, sans doute dès l’an Mil et peut-être avant que des hommes se sont acharnés à alimenter des moulins, puis des canaux d’irrigation...
L’itinéraire démarrait d'Esposolla, petit village capcinois installé à l'entrée de la Vallée du Galbe. Dès ses dernières maisons, nous avons quitté le creux de cette belle vallée façonnée par les anciens glaciers pour s'orienter sur son versant nord vers la crête qui mène à l'affleurement calcaire du Roc de Querubi. Après y avoir rejoint l'équipe du samedi, ensemble nous avons fait la trace dans la belle poudreuse tombée durant la nuit jusque sur les hauteurs de la Solana de Vall de Galba où nous avons trouvé abri du vent pour partager le repas au soleil...
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Le nom d’HORTOUX, pour beaucoup de visiteurs et de passants, est resté longtemps associé aux ruines du cortal. La tour qui se tient en retrait, quasi inaccessible dans son labyrinthe de verdure, n’était connue que de quelques initiés, de médiévistes et bien sûr des feuillantins. Une histoire de famille en quelque sorte.
Le toponyme désigne les « jardins » qui occupaient une place importante dans l’économie médiévale. Le nom de lieu Horte est répandu au Moyen Âge, l’ort étant une des composantes principales de village : on en compte pratiquement autant qu’il y a d’ostal. Pour en savoir plus il fallait, et il faut encore remonter la combe et le temps...
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Le départ direct à travers champs, franchissant le torrent, nous a mis en forme pour le reste de la journée. Il nous a permis de rejoindre sans détour et pour le plaisir le sentier cheminant sous les arbres de dentelle jusqu'au coll de Pradelles. Du col nous nous sommes alors orientés vers la crête puis vers le sommet ou nous avons pu profiter encore un peu du ciel dégagé du matin pour déjeuner. En guise de dessert la neige s'est alors mise à tomber et il a vite fallu débarrasser la table et redescendre quelques deux cents mètres plus bas nous abriter dans le vallon pour prendre un café bien chaud et couper le gâteau ... nous avons alors plongé sur la Jaça de les Corones avant de retrouver Valcebollère.
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La première mention historique et origine du nom de Saint Martin apparaît à la fin du XIIIe siècle sous la forme Sant Marti d’Endalens. Endalens (aujourd’hui En Dallen) est le nom du plateau cultivé de vignes situé à l’ouest du village. Le village est encore appelé Saint Martin Dindalens sur la carte de Cassini (XVIIIe s).
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Point de rencontre entre les plaques tectoniques afro-ibérique et européenne, le territoire de Saint Martin de Fenouillet offre de nombreuses curiosités géologiques, naturelles et paysagères.
Nos pas nous ont menés à travers les vignes, la garrigue parfumée et la forêt méditerranéenne typique jusqu’aux falaises surplombant la vallée de l’Agly et le synclinal de St Paul de Fenouillet où le paysage nous a conté l’histoire de l’homme et de son milieu naturel.
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